Le top 30 des déclas de l'année (de la 20e à la 11e) : Poutine au soutien, Nadal et Federer blasés
Mis à jour 29/12/2015 à 10:38 GMT+1
Pas de sport sans les petites phrases. Sur Twitter, au micro ou devant les caméras, les (plus ou moins) bons mots, pas toujours maitrisés, rythment aussi l'actualité sportive. Deuxième volet de notre best of ce mardi.
Perdre, en tant que tennisman, je ne sais pas si c'est la même chose pour vous, mais c'est comme écrire un article de merde
20. Roger Federer - Quand Roger Federer essayait de nous expliquer après sa défaite contre Stan Wawrinka à Roland-Garros ce qu'il ressent quand il perd un match. Eh oui, Roger, c'est la même chose pour nous...
C'est une bonne journée pour moi. Tu es vieux maintenant, alors j'espère que ce sera plus facile pour moi cette année
19. Nico Rosberg - C'est par ce tweet que le pilote allemand avait souhaité un bon anniversaire à son coéquipier chez Mercedes et néanmoins rival pour le titre, Lewis Hamilton. Pas forcément bien vu quand on connait la teneur de la saison 2015...
Si vous avez besoin de la maison que j’ai louée, elle est dispo à partir de demain
18. Rafael Nadal - Rafa, blasé, après sa défaite prématurée à Wimbledon contre Dustin Brown. Il avait visiblement prévu de rester à Londres plus longtemps...
Nous avons un style de jeu similaire à celui de l'Angleterre mais nous avons des joueurs plus beaux gosses
17. Schalk Brits - La différence entre le rugby anglais et le rugby sud-africain expliqué par le talonneur des Boks. Simple, non ?
On n’a effectivement pas sombré dans la poésie au moment de cette conversation
16. Me Jakubowicz (sur RMC) - Les mots utilisés par l'avocat de Karim Benzema à propos de la conversation de son client avec son ami Karim Zenati, celle qui a tant déçu Mathieu Valbuena. "Quand vous lisez la retranscription de la conversation avec Zenati… Il dit qu’ils l’ont pris pour un idiot pour ne pas dire pour un con. C’est vrai que ce qui est dit à ce moment-là n’est pas très sympathique", a concédé l'avocat du buteur des Bleus. #Euphémisme
C'est comme avoir à embrasser sa soeur
15. Heyneke Meyer - La métaphore utilisée par le sélectionneur sud-africain quand on lui a demandé son sentiment à l'idée de jouer le match pour la troisième place du Mondial 2015, quelques jours après la défaite en demie contre les Blacks.
J'ai pris mon petit déjeuner avec ma femme pour la première fois depuis très longtemps. En tout cas je pense encore qu'elle est ma femme, mais je ne sais pas si elle pense que je suis toujours son mari
14. Eddie Jones - C'est long, une Coupe du monde de rugby. Même quand on perd au premier tour comme le Japon. Mais, préparation comprise, le sélectionneur australien de l'équipe nippone n'a pas vu sa femme pendant plusieurs semaines. Au point de se demander, avec le second degré qui le caractérise, si son épouse allait encore le reconnaitre.
Très clairement, j'ai impression d'avoir été trahi.
13. Arnaud Clément - Sobre. Clair. Efficace. Arnaud Clément n'a pas aimé la façon dont il a été évincé du poste de capitaine de l'équipe de France de Coupe Davis.
Joseph Blatter a fait un travail considérable pour le football mondial, sa contribution dans le domaine humanitaire est colossale. Voilà la personne à qui il faut donner le prix Nobel de la Paix.
12. Vladimir Poutine - La décla la plus "what the fuck" de toute l'année.
Quelqu'un m'a sorti du ravin. Certains Français nous aiment bien !
11. Geraint Thomas - En pleine polémique autour de Chris Froome pendant le Tour de France, alors que le maillot jaune fait face aux soupçons de dopage et se prend crachat et urine dans la tronche, son fidèle lieutenant Geraint Thomas a trouvé les ressources pour faire de l'humour après sa spectaculaire chute dans les Alpes.
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