Une équipe qui gagne la C1
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ParEurosport
Mis à jour 06/10/2011 à 15:28 GMT+2
Notre sélection des petites phrases revient après un mois de pause liée à une actualité exceptionnelle. Gervais Martel voit le PSG très haut. Marc Lièvremont fait un beau lapsus, Boris Becker n'y va pas par quatre chemins quand il évoque les qualités de Jo-Wilfried Tsonga.
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Crédit: Eurosport
Marc Lièvremont, le sélectionneur du XV de France, n'est pas très optimiste avant de défier l'Angleterre. Il pense déjà à rentrer en France mais son lapsus aura au moins eu le mérite de le faire sourire...
"Au-delà d'affronter l'Angleterre, c'est disputer un quart de finale qui compte. Avec l'envie de bien finir... Pardon pour ce lapsus, de bien continuer, plutôt."
Jonathan Wisniewski, l'ouvreur du Racing Métro, est un vrai passionné. Il vit et dort rugby.
"La nuit, il m'arrive de me lever pour écrire dans mon cahier à idée des schéma de jeu, un lancement... Le lendemain, j'en parle à mon coach. Ma copine me prend pour un fou". (Source : L'Equipe)
Peter Zeidler, l'entraîneur allemand de Tours, n'a pas le même caractère que certains de ses compatriotes. Et ce n'est pas une mauvaise nouvelle pour tout le monde...
"Quand nous sommes arrivés à Boulogne, le chauffeur du bus a mis 20 minutes à trouver le stade. J'étais énervé mas je n'ai rien dit car au fond, ça me plaît, ce côté décontracté. Mais si ça arrive à Felix Magath ou Ralf Rangnick, ils virent trois personnes". (Source : France Football)
Sione Lauaki, le Néo-Zélandais d'origine tonguienne, n'est visiblement pas très tradition. Ou alors il milite secrètement pour une vision revisitée du haka.
"On s'en fiche du choix du haka, ils pourraient faire du breakdance s'ils veulent, du moment qu'ils gagnent le match."
Boris Becker a une manière bien particulière de faire des compliments à Jo-Wilfried Tsonga. Le Manceau appréciera...
Boris Becker a une manière bien particulière de faire des compliments à Jo-Wilfried Tsonga. Le Manceau appréciera...
"Tsonga n’est pas le plus rapide, pas le plus talentueux mais il a de grosses couilles." (Source : L'Equipe)
Oscar de la Hoya, le boxeur américain, a vécu quelques moments compliqués.
"Avant que je me soigne, je me demandais si ma vie en valait la peine. Je n’avais pas le courage de me suicider mais j’y pensais. J’ai trompé ma femme, nous nous sommes séparés. La cocaïne et l’alcool m’emmenaient dans un endroit où je me sentais bien, là où plus personne ne pouvait rien me dire, où je pouvais voir ma mère." (Source : Univision)
Toujours aussi ambitieux, Tony Parker vise haut dès son arrivée à l'ASVEL. Les fans de la Maison Verte vont déjà allumer des cierges pour que le lock out se poursuive le plus longtemps possible.
"Si je joue la saison en entier, on essayera de gagner le titre". (Source : L'Equipe)
Gervais Martel apprécie désormais le PSG, qu'il voit haut, très, très haut...
"Ils ont les moyens de leur politique. Ils vont être champions, sauf accident, pendant quelques années. Par conséquent, on aura peut-être la chance d'avoir une équipe, pour la première fois depuis l'OM, qui gagne la Ligue des champions. Il va y avoir un coup de projecteur énorme sur le foot français." (Source : RMC)
Roberto Mancini, l'entraîneur de Manchester City, est nostalgique. Mais en signant à City, il n'a peut-être rien fait pour ne pas l'être...
"Quand j’étais joueur, nous étions mentalement beaucoup plus solides que les joueurs d’aujourd’hui. Nous avions plus faim, il y avait moins d’argent, au moins pour les très jeunes joueurs. Nous étions sérieux. A 17 ou 18 ans, j’ai fait des erreurs, comme tout le monde. Mais à 20 ans, on savait qu’il était temps de grandir."
Bernard Lacombe ne met pas la pression sur l'équipe de France. Juste un peu...
"Si on ne se qualifie pas face à l'Albanie et la Bosnie, on peut changer de sport !" (Source : RTL)
David Douillet, le nouveau ministre des Sports, qui fait semblant de s'y connaître...
"J'ai pu constater à l'œil les différences entre les pilotes qui étaient en pneus 'tendre' comme Ogier et en 'dur' comme Sordo", a-t-il fièrement déclaré dimanche matin au Zénith de Strasbourg. Primo, les différences entre les types de gommes sont invisibles, secundo Ogier était en 'dur' et Sordo en 'tendre', et non l'inverse.
"J'ai pu constater à l'œil les différences entre les pilotes qui étaient en pneus 'tendre' comme Ogier et en 'dur' comme Sordo", a-t-il fièrement déclaré dimanche matin au Zénith de Strasbourg. Primo, les différences entre les types de gommes sont invisibles, secundo Ogier était en 'dur' et Sordo en 'tendre', et non l'inverse.
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