Gasquet: "Cela m'a manqué"

R.G. : Cela me fait plaisir, bien sûr. Cela fait trois ans et demi que je n’ai pas joué un simple à enjeu en Coupe Davis. Ce sont des sensations complètement différentes de celles que l’on peut éprouver toute l’année sur le circuit. Mais j’ai plutôt bien joué cette saison. Je me sens en confiance. Je vais essayer de faire un grand match pour l’emporter. Mener 1-0, ce serait très important pour le reste du week-end.

R.G. : C’est toujours important pour un joueur d’évoluer en Coupe Davis. Ca m’a manqué. Maintenant, le fait de revenir n’est pas une finalité. Le plus important, c’est de gagner ce match. Mais à titre personnel, je suis content de me retrouver là.

R.G. : La saison passée, j’étais cinquième joueur. Bien sûr, j’étais un peu déçu. Ce n’était pas la fin du monde. Là, je suis heureux de jouer, mais encore une fois, je vais surtout essayer de gagner cette rencontre.

R.G. : C’est clair, je suis en confiance. J’ai bien joué à Wimbledon, à Roland-Garros aussi. Je suis prêt pour cette rencontre. Il sera important de bien démarrer. Il y a quelque temps que je n’ai pas joué en Coupe Davis. Il faudra vite reprendre ses marques pour bien lancer l’équipe.

R.G. : Jouer à l’extérieur n’est jamais facile. On va affronter un adversaire qui va tout donner chez lui. Florian Mayer est 20e mondial, c’est un bon joueur. Mais je suis prêt à tout faire pour essayer de gagner ce match.

R.G. : C’est toujours compliqué. Mais je suis content d’évoluer sur terre battue. C’est une surface qui me convient bien. J’ai bien joué sur terre cette année. Ici, le court est bien. Il y a un peu d’altitude. Mais ce n’est pas ça qui fera gagner ou non la rencontre. C’est notre niveau de jeu qui fera la différence.

R.G. : Il est 20e mondial. C’est un très bon joueur qui avait été en quart de finale à Rome (NDLR : battu par Andy Murray), sur terre battue, il y a quelques semaines. Il a un jeu atypique. Il est difficile à jouer. Il fait beaucoup de changements de rythme et possède un super revers. Mais j’ai la possibilité de le battre, et je vais tout faire pour.

R.G. : Ce n’est pas prédominant. On préfère tous jouer l’après-midi, mais c’est pour tout le monde pareil. Ce n’est donc pas un problème.