Atol, des lunettes qui relèvent le défi de la performance sportive

Le challenge était de taille mais Atol l’a relevé. Concevoir des lunettes de vue pour une pratique quotidienne et inconditionnelle du sport. Ce n’est désormais plus une chimère, grâce au savoir-faire de la marque française qui a mis au point des montures innovantes pour que tous, les pratiquants d’activités sportives, puissent s’adonner à leur passion sans la moindre contrainte.

Et ce n’est pas un hasard, si le football, est, comme tous les sports, aussi concerné par cette collection notamment dans, son aspect hors du terrain "étude du jeu". Ce pari ne peut être assuré que par une paire de lunettes qui possède un "ADN sport" fort.

Margaux, chef de produit chez Atol, livre sa définition de cet ADN particulier : "Il se traduit surtout par le confort de pratiquer sans être gêné". Un précepte simple qui, pourtant, a nécessité des réponses techniques très poussées pour répondre à toutes les exigences. "D’abord, il faut un maintien que l’on souhaite sans limite", poursuit Margaux.

Nous avons utilisé un matériau en gomme appelé dans le jargon des lunetiers 'rubber' au niveau des manchons". La stabilité c’est une chose, encore faut-il y apporter de la résistance pour absorber les chocs.C’est désormais possible, notamment grâce "à l’usage du Grilamid (un matériau solide et léger) et à des charnières pouvant aller jusqu’à 180°", explique la chef de produit.

De même, Atol a mis l’accent sur une vision sans entrave avec des montures de grandes tailles pour un regard périphérique essentiel dans la vie quotidienne ou qui peuvent servir lors, notamment, des séances de cardio à vélo qui contribueront à l’amélioration de votre endurance. Au-delà de toutes ces caractéristiques techniques, Atol n’a cependant rien sacrifié à l’apparence : "S’engager pour le bien-être, c’est aussi s’engager à ne pas faire de concession sur le style", rappelle Margaux.

"Se sentir bien et beau avec sa paire de lunettes, c’est se sentir en confiance pour vivre totalement son quotidien, ses activités, ses passions. C’est en refusant les concessions sur le style que nous avons conçu des modèles tendance, inspirés de modèles sportifs, avec de légères touches de couleur laquées tout en apportant des réponses techniques dans un contexte de sport, de mouvement". C’est donc en prenant en compte l’ensemble de ces objectifs qu’Atol et Red Bull Spect Eyewear ont lancé cette collection novatrice.

Et, pour parfaire ces montures, il fallait aussi bien sûr des verres d’une qualité optimale… Car les différents troubles de la vision (myopie, astigmatie, hypermétropie, presbytie) nécessitent une réponse adaptée pour chaque cas. Lucie, experte métier, résume la position d’Atol à ce sujet : "Notre approche générale face aux troubles visuels est de protéger les yeux et donc par extension, limiter la fatigue oculaire. Nous réalisons cela grâce à la mise en place, personnalisée, de verres selon le quotidien des personnes que nous accueillons dans nos 800 magasins répartis sur toute la France".

Lucie revient également sur la cause majeure de ces troubles : "Aujourd’hui, le facteur de fatigue oculaire le plus connu est la lumière bleue rendu populaire par les smartphones qui nous accompagnent partout. Ce constat est notamment appuyé par une étude publiée par 'American Academy of Ophthalmology', qui, dans sa conclusion, suggère qu’en 2050 environ 50% de la population mondiale sera atteinte de myopie".

Et Lucie de poursuivre : "C’est notamment dans cette perspective que nous proposons, par défaut, le traitement anti-lumière bleue qui équipe l’ensemble des montures optique de la collaboration Atol x Red Bull Spect Eyewear". La collaboration ne s’arrête bien sûr pas uniquement au bord du rectangle vert du terrain de foot : Atol et Red Bull Spect Eyewear ont des modèles qui s’adaptent à tous les sports (running, tennis, rugby, basket, golf etc.)

Avec une adaptabilité qui respecte chaque spécificité : "Par exemple nous recommandons des verres à la teinte rosé pour les joueurs de golf, afin d’accentuer le contraste sur les surfaces du green", note Lucie. "Ainsi, les golfeurs pourront clairement distinguer les différents niveaux du green. Alors, bonjour les 'birdies', et au revoir les bunkers !"