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Liga - Un penalty de Carrasco contre l'Espanyol (2-1) permet à l'Atlético de consolider sa place dans le Top 4

Andrea Noviello

Mis à jour 17/04/2022 à 19:19 GMT+2

LIGA - L'Atlético peut remercier le VAR. L'assistance vidéo à l'arbitrage a accordé un penalty aux Madrilènes à la toute fin du temps additionnel de la rencontre contre l'Espanyol (2-1), ce dimanche, lors de la 32e journée. C'est Yannick Carrasco qui a inscrit le but de la victoire à la 90e+10. Ce succès permet à l'équipe de Diego Simeone de prendre trois points d'avance sur le Betis, 5e.

Atletico Madrid

Crédit: Getty Images

L'Atlético a eu chaud. Tenu en échec jusqu’au bout du temps additionnel par une séduisante équipe de l’Espanyol Barcelone, le club madrilène s’est finalement imposé (2-1) au bout du suspense grâce à un pénalty victorieux de Yannick Carrasco (90e+10). Déjà buteur peu après son entrée en jeu au retour des vestiaires (51e), le Belge a offert trois points précieux à des Colchoneros revenus provisoirement à hauteur de Barcelone et du Séville FC (60 points). Mieux encore, le Betis, 5e, et toujours en lice pour le Top 4, a été repoussé à trois points.
Remplaçant au coup d’envoi, Diego Simeone lui ayant préféré un autre ancien pensionnaire de Ligue 1, Thomas Lemar, l’ancien monégasque a assisté en simple spectateur à la première mi-temps insipide de ses coéquipiers. Visiblement encore perturbée par l’élimination récente en Ligue des champions face à Manchester City, l’Atlético de Madrid ne s’est quasiment jamais montré dangereux lors d’un premier acte bien contrôlé par des Catalans entreprenants à défaut d’être menaçants.

Le coaching de Simeone a transformé l'Atlético

En manque de vitesse et de justesse dans leurs transmissions offensives, les joueurs de Diego Simeone ont toutefois profondément changé de visage au retour des vestiaires. Remanié dans les grandes largeurs par le coach argentin, le onze titulaire madrilène a subitement passé la vitesse supérieure avec les entrées gagnantes de Matheus Cunha, Antoine Griezmann et Yannick Carrasco. Idéalement servi par Cunha, sur une action initiée par Griezmann, Carrasco a ouvert le score d’une frappe limpide après s’être magnifiquement débarrassé d’Aleix Vidal (51e).
Désormais lancée, la machine madrilène ne semblait plus pouvoir s’enrayer d’autant que derrière Jan Oblak préservait les intérêts des siens en accumulant les parades de grande classe face à Sergi Darder (51e) ou encore Raul de Tomas (68e). Mais il était écrit que rien ne serait simple pour les coéquipiers de Koke. Réduit à dix après l’expulsion sévère de Geoffrey Kondogbia (70e), pour une main involontaire, l’Atlético concédait l’égalisation dans la foulée, Sergi Darder transformant d’une frappe puissante le coup franc offert par l’arbitre (73e).
Dos au mur et en infériorité numérique, les Colchoneros ont pourtant trouvé les moyens d’arracher la victoire au bout d’un interminable temps additionnel. Poussé dans leurs retranchements par un public du Wanda Metropolitano chauffé à blanc par les décisions arbitrales de monsieur Vazquez, les Madrilènes ont d’abord manqué le coche sur deux situations chaudes d’Antoine Griezmann (80e) et de Yannick Carrasco (94e) avant que De Tomas ne soit sanctionné pour une main peu évidente dans la surface. L'Atlético a eu chaud, mais il en s'est sorti.
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