Garcia : "Ouf, la trêve"

Rudi Garcia : "Non. Je vous dis depuis un moment que nous n'allons pas marquer quatre buts à chaque fois et nous n'en avons marqué que trois lors du dernier match. Plus sérieusement, il faut rester humble par rapport à cela. Nous savons que nous ne gagnerons pas tous les matches. Par contre, il faut se rendre compte que ce que nous réalisons actuellement est assez énorme. C'est le fruit du travail. Je demande à mon équipe de bien jouer au ballon, mais c'est avant tout l'esprit que j'aime chez mes joueurs. Une fois le score acquis, j'ai vu les attaquants venir défendre.

R.G : "Si nous gardons cet esprit-là début janvier, nous pouvons espérer continuer à bien fonctionner. Maintenant nous sortons de huit matches d'affilée en 24 jours et honnêtement, la trêve est la bienvenue."

R.G: "Nous nous sommes appuyés dessus depuis le début de saison. Cela n'a pas fonctionné en août en terme de résultat, mais ensuite la réussite est venue. Les attaquants sont en confiance. Cela permet de concrétiser les occasions que nous avons toujours eues mais qui aujourd'hui finissent au fond. Maintenant nous espérons que le départ de joueurs à la CAN ne sera pas préjudiciable. Nous perdrons Gervinho, Aubemeyang et Ceto. Ce n'est pas rien. Surtout, cela diminuera quantitativement notre groupe.

R.G : "Nous venons de faire un marathon de huit matches et un autre assez fou nous attend avec de neuf à quinze matches entre le 9 janvier et fin février. Nous avons été épargnés par le sort jusqu'à maintenant, mais si nous n'avons pas tout l'effectif à disposition, nous serons en grand danger à la reprise."

R:G : "Le classement actuel est surtout virtuel. Montpellier et Marseille ont un match en moins. Nous sommes deuxième par défaut. Mais ce qui compte, ce sont les points, pas la place. Nous avons 34 points à la trêve, c'est mieux que l'an dernier. Nous sommes revenus au prix d'une série assez extraordinaire. Nous voulons être dans notre objectif et y rester: le premier tiers du classement. La victoire à Nancy nous permet d'asseoir notre position. Mais encore une fois, tout le monde est content de souffler."