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Ligue 1 : Le top des déclas de la 6e journée (Montanier, Bielsa, Makelele)

Lucile Alard

Mis à jour 21/09/2014 à 00:14 GMT+2

Montanier frustré, Bielsa contenté, Reims remonté. Retrouvez le top des déclarations de la sixième journée de Ligue 1.

Jean Luc Vasseur, l'entraîneur de Reims

Crédit: AFP

Montanier pensait gagner, alors la défaite à l’OM…

Battu 3-0 par l’OM au Vélodrome, Rennes a explosé en seconde période face au réalisme de Gignac (deux buts). Et dire que Montanier s’attendait à remporter la mise (ou au moins accrocher le nul) à la vue du match livré par son équipe.
On aurait fait nul on aurait presque été déçus, donc à 0-3...

Un Marseille victorieux, c’est un Bielsa "joyeux"

Marcelo Bielsa fonctionne de manière toute simple : offrez-lui une victoire et il est heureux. Cela tombe bien, l’OM a enchaîné un quatrième succès d’affilée. Pour le sourire, on repassera...
Je suis content car chaque fois que l'équipe gagne ça me donne de la joie.
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Marcelo Bielsa, l'entraîneur de l'OM, le 12 septembre 2014, en conférence de presse.

Crédit: Eurosport

Reims refait surface, ne manque plus qu’à gravir les étages

Une victoire à Lorient, même sur la plus petite des marges, même en jouant un football pauvre, Jean-Luc Vasseur signe des deux mains. Son équipe vient de trop bas pour faire la fine bouche.
Dans le contenu, dans l'utilisation du ballon, il y a encore beaucoup de choses à améliorer. Mais comme on vient de la cave, on ne peut pas être flamboyant.

A trop fêter son but, Caen en a pris un troisième

Patrice Garande avait un regret après le match fou des Normands à Toulouse (3-3) : que ses joueurs (et lui) soient sortis du match après leur troisième but, celui qui aurait dû sceller leur victoire.
J'aurais dû insister sur le pressing à faire plutôt que de fêter ce troisième but avec mes joueurs

Les Lorientais, eux, se sont crashés

Pour Sylvain Ripoll, il n’y avait rien à sauver de la prestation de son équipe face à Reims (0-1). Ses joueurs n’ont rien montré sur le terrain, ils sont reparti bredouilles du Moustoir.
C'est une belle gamelle. Aucune imagination, aucune créativité, pas de tranchant: le résultat est là.

Le responsable, c’est Makelele

Déçu par le match de son équipe à Metz (3-1), Claude Makelele a assumé la défaite.
Il n'y a pas eu de combativité ni de maitrise de jeu. Je prends la faute sur moi.
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Claude Makelele lors de son premier match officiel en tant qu'entraîneur avec Bastia face à Marseille, lors de la saison 2014/15

Crédit: AFP

Avec des si, Nice serait… loin de la quinzième place

Claude Puel enrageait après la défaite de ses hommes contre Nantes. Il n’en démordait pas, son équipe avait de quoi bousculer les Nantais, vainqueurs 2-1. Il a sans doute raison mais le résultat est seul juge.
En jouant notre jeu, qu'on a très peu vu, on avait de quoi mettre en difficulté cette équipe de Nantes.

Dupraz chasse les mouches

Evian a perdu (2-1 à Bordeaux), encore, mais Pascal Dupraz ne s'avoue toujours pas vaincu. L'entraîneur de l'ETG veut y croire, le vent va tourner. Et il le dit de manière un peu plus imagée.
Quoi qu'on en dise il y a de l'espoir, quelque fois les mouches changent d'âne.
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Pascal Dupraz, entraineur d'Evian-Thonon-Gaillard

Crédit: AFP

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