Les 100 déclas de 2013 - Acte 8: Ribéry, Murray, Isinbayeva...
Mis à jour 01/01/2014 à 15:05 GMT+1
On rentre dans les 30 premiers de notre classement des 100 phrases fortes de l'année 2013. Forcément, ça devient, sévère, brutal, voire sarcastique.
Bons mots. Métaphores, coups de gueule, de coeur ou de blues. Tacles assassins. Tirades cinglantes, pleureuses, ou joyeuses. Une année de sport, c'est de l'action mais aussi des déclarations. Que serait le sport sans ces petites phrases qui rythment chaque évènement?
Du 23 décembre au 1er janvier, nous vous proposons de retrouver ou, qui sait, de découvrir les 100 déclarations de l'année 2013. Huitième volet ce lundi, de la 30e à la 21e.
_____________________________________________________________________________
Il y a 0,0001% de chances que Balotelli retourne en Italie.
30. Mino Raiola – 11 janvier. 18 jours après les propos de l'agent de Super Mario, ce dernier signait au Milan. Comme quoi, les probabilités…
Je pourrais aussi entrer en arrière gauche, à la place d'Evra.
29. Rama Yade – 15 novembre. Le petit tweet un brin vachard de l'ex-ministre des Sports le soir de la défaite des Bleus en Ukraine (2-0), en barrage aller. Une référence à une petite phrase de l'arrière gauche des Bleus dans Téléfoot.
Oui, c'est sûr. C'est super. Super, soyons positifs. C'est génial de gagner deux sets contre Novak et d'en perdre quatre. Perdre un match, c'est tellement excitant.
28. Roger Federer – 6 novembre. Interrogé sur les aspects "positifs" de ses deux matches perdus en quelques jours, à Bercy et au Masters, face à Novak Djokovic, Federer, agacé, a préféré jouer la carte du sarcasme.
42 ont essayé. 42 ont échoué. Il sera le numéro 43.
27. Floyd Mayweather Jr – 11 mars. Le petit rappel du roi de la boxe à Robert Guerrero qui, effectivement, a été le 43e, le 4 mai, à subir la loi de Mayweather.
Sans le foot, j’aurais fini pauvre et probablement au chômage, comme beaucoup de personnes.
26. Franck Ribéry – 19 décembre. A cœur ouvert, dans Bild.
Les statistiques sont comme un bikini. Elles en montrent beaucoup, mais pas l'essentiel.
25. Scott Johnson – 1er février. La métaphore de l'année, reprenant la phrase du Général de Gaulle à propos des mini-jupes, à mettre au crédit du sélectionneur intérimaire de l'équipe d'Ecosse de rugby.
Pour être franc, à ce stade de ma carrière, je me considérais comme un loser, ni plus ni moins.
24. Andy Murray – 5 novembre. Murray, évoquant son état d'esprit en janvier 2012, au début de sa collaboration avec Ivan Lendl. Deux saison, deux tournois du Grand Chelem et un titre olympique plus tard, plus personne ne le considère comme tel.
Big fucking Nose !
23. Joey Barton – 28 février. Ce n'est pas bien d'attaquer les gens sur leur physique. Mais Barton n'avait pas mieux à offrir comme argument contre Zlatan Ibrahimovic lors du PSG-OM au Parc en Coupe de la Ligue. Bien sûr, c'est l'alliance du geste et de la parole, en l'occurrence, qui donne tout son sel à la tirade.
Nous sommes inquiets pour notre nation car nous nous considérons comme des gens 'normaux'. Chez nous, une relation, c'est entre un homme et une femme. Nous n'avons jamais connu ces problèmes en Russie et nous ne voulons pas en avoir dans le futur.
22. Yelena Isinbayeva – 15 août. La perchiste russe, très au courant des pratiques sexuelles de tous ses compatriotes.
Vous avez tous rigolé quand je vous disais qu'on gagnerait le Tour de France dans les cinq ans. Et si je vous avais dit qu'on le gagnerait deux fois avec deux coureurs différents, vous vous seriez pissé dessus.
21. Dave Brailsford – 25 juillet. Pas faux, Dave, pas faux. Le manager de l'équipe Sky a vu juste.
ACTE IX A DECOUVRIR MARDI
Rejoignez Plus de 3M d'utilisateurs sur l'app
Télécharger
Scannez ici
Sur le même sujet
Partager cet article
Publicité
Publicité