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"Il va falloir entourer Paolo" : Garbisi et l'Italie ont manqué une occasion en or de gagner en France (13-13)
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Publié 26/02/2024 à 00:22 GMT+1
"Cette pénalité, c'est un détail par rapport à ce qui a été fait pendant tout le match." Par cette phrase, Ange Capuozzo tente d'atténuer le sentiment de culpabilité de Paolo Garbisi, qui a échoué face aux perches, alors que l'Italie pouvait battre la France, à Lille ce dimanche (13-13). Ce résultat déjà historique pour les Italiens dans le Tournoi est "une victoire manquée", se désole l'ouvreur.
"On ne sait pas sur qui taper et c'est peut-être le plus inquiétant"
Video credit: Eurosport
L'ouvreur et buteur italien Paolo Garbisi considère qu'il n'a pas "été à la hauteur". Il n'a pas réussi à offrir la victoire à l'Italie face à la France (13-13), d'une pénalité en assez bonne position (moins de 40 mètres, axe-gauche). "Je tiens à m'excuser auprès de mes coéquipiers, qui ont fait un bon match, a-t-il déclaré en zone mixte à l'issue de la rencontre. On méritait de gagner ce match".
"Plutôt qu'un match nul, c'est une victoire manquée et je le prends pour moi", a ajouté le joueur de 23 ans, récemment transféré de Montpellier à Toulon. Après que le ballon est tombé du tee, Garbisi a été contraint de vite taper son coup de pied pour ne pas dépasser la limite de temps allouée aux buteurs, lors de cette rencontre disputée dimanche à Lille. Résultat : poteau.
"On ne voit pas souvent le ballon tomber dans un stade fermé, sans vent. Ce n'est pas du tout une excuse, ça fait partie de mon job, a-t-il assumé. Ce n'était pas une pénalité très compliquée".
Son coéquipier Ange Capuozzo, auteur à la 70e minute de l'essai qui a permis à l'Italie de revenir à hauteur de la France, est venu à son soutien. "Il va falloir entourer Paolo. Cette pénalité, c'est un détail par rapport à ce qui a été fait pendant tout le match", a-t-il dit.
"Cela reste un moment historique (la première fois que l'Italie ne perd pas en France dans le Tournoi, ndlr), une très bonne performance", a relativisé l'arrière du Stade toulousain. "Évidemment, il y a de la frustration sur cette pénalité à la fin. C'est le sport...", conclut-il.
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Et si c'était le déclic ?
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