Simon : "Viser le top 20"

"Je pense que le tennis français a beaucoup progressé depuis deux ans. Il y a cinq ans nous n'avions qu'un seul joueur dans le top 50 et tout le monde s'inquiétait. Maintenant, nous sommes plus de dix et je pense qu'il devrait y avoir plus de Français dans le top 20."

"J'ai pris plus de plaisir sur le court parce que c'était à Marseille. A Valence, Almagro jouait mieux que moi. Il méritait le titre. Cette fois-ci, il n'y avait aucune raison pour que je ne gagne pas."

"Mon jeu dépend énormément de ma confiance. L'année dernière, j'ai réalisé mes meilleurs résultats sur terre battue. Cette fois, j'ai bien joué sur dur en indoor, ce que j'avais déjà réussi avant. En 2006, cela s'était bien passé en Australie. Il ne me manque pour l'instant que des résultats sur gazon."

"J'aimerais me rapporcher du top 20 et conserver son niveau de jeu toute l'année."

"Mon jeu est basé sur le jeu de fond de court. Je joue bien des deux côtés. Habituellement, j'essaie d'être solide et de bien couvrir mon terrain. Je veux montrer à mon adversaire que je serai difficile à déborder. Mon jeu est très physique."

"Quand j'étais enfant, mon joueur préféré était Marat Safin. Je voulais jouer comme lui. J'adorais son jeu, sa technique et son attitude (cool). A part lui je n'avais pas d'idole."

"J'adore la musique. Si je devais choisir, à part le tennis, c'est ce que je ferais."

"Mais pas comme Noah. Je préfère jouer des instruments comme le piano ou la guitare. Mais j'ai dû arrêter quand j'avais 17 ans à cause des entraînements."

"Jusqu'à l'âge de 14 ans, je jouais dans un petit club à côté de Paris (US Fontenay). Mon entraîneur s'appelait Céline Duveree. Ensuite, j'ai rejoint le groupe France et je me suis entraîné à la Fédération."

"Ma famille m'a beaucoup aidé, et mes parents les premiers. A la Fédération, des gens comme Dominique Poey et m'ont fait confiance depuis le début. Louis Borfiga a été important ainsi que mes coaches Alois Beust, Jerome Potier et maintenant Thierry Tulasne."