"On peut faire du bruit"

J.N. : C'était difficile de partir comme ça. J'ai passé deux semaines super. Je sais que Tony (ndlr: Parker) a tout essayé pour que je reste. J'espère faire partie de ce groupe l'année prochaine pendant la Coupe du monde puis pendant les jeux Olympiques.

J.N. : Non. Ce n'est pas le bon moment. On a une longue saison, importante. On verra quand elle sera terminée.

J.N. : C'est un super groupe. Ce n'est pas la fierté nationale qui me fait "kiffer", c'est de jouer avec ces gars. Je peux apporter quelque chose. Pendant l'Euro, on n'a pas mal joué mais il manquait un peu cette présence à l'intérieur.

J.N. : C'est mon rôle. C'est ce qui m'a amené à ce niveau-là. En NBA, l'important c'est d'avoir un point fort. Je vais rester agressif au rebond offensif, rester près du panneau et foutre ma merde... (rires).

J.N. : Même pendant les play-offs j'en avais beaucoup. Mais ces performances vont m'offrir du temps de jeu. L'entraîneur me fait confiance. J'ai beaucoup travaillé cet été mais j'ai plein de trucs à améliorer. Mon rôle, cela a toujours été la défense et les rebonds. Je dois continuer.

J.N. : C'est quelqu'un qui m'influence beaucoup. Je l'ai rencontré en soirée à Miami, on a parlé un quart d'heure. Il m'a donné confiance. Tout le monde connaît sa personnalité à tel point que les gens oublient son talent. Même si ce n'était pas un grand joueur offensif, il a apporté beaucoup aux Bulls quand ils ont gagné en 1996.

J.N. : L'équipe est différente sans Ben Gordon. Il y a beaucoup de potentiel mais aussi beaucoup de progrès à faire. On doit être plus forts en défense pour se créer des contre-attaques. C'est comme ça qu'on veut jouer. Si on améliore ça, on peut faire du bruit.

J.N. : Oui. Il y a eu beaucoup de doutes. C'est toujours "kiffant" quand il n'y a besoin de rien dire. Ceux qui ont douté de moi n'ont jamais vécu ce que j'ai vécu.