"Pas une finale"

R.V. : C'est un sommet. Tout le monde pensait que Nancy ne serait que de passage dans le haut du classement. Pas nous. Nancy peut frapper un grand coup en nous accrochant et surtout en gagnant. Il faut donc garder cela à l'esprit. On a l'habitude de répondre présent dans ce genre de rendez-vous. On a une certaine expérience dans ce domaine-là. On aime ces matches à enjeu, à pression. J'espère que ce sera encore le cas à Nancy même si on a un grand monsieur, qui va nous manquer samedi (ndlr : Juninho sera suspendu).

R.V : C'est effectivement une équipe compliquée à jouer. Elle prend très peu de buts tout en étant réaliste offensivement. Il faudra être très vigilant. Ce sera un très bon match de coupe d'Europe. C'est un tournant mais ce n'est pas une finale pour autant.

R.V : Le championnat sera encore à long après cette rencontre. Ce match ne scellera que la fin des matches aller. Il n'y aura pas forcément de conclusions à tirer. En revanche, il sera important, psychologiquement, de démontrer que cela nous tient à coeur de creuser les écarts. Disons que cela peut marquer les esprits.

R.V : On a toujours envie de jouer tous les matches. Je me suis pris au jeu. J'ai eu la chance de pouvoir jouer jusqu'à la trêve. Au départ, ce n'était pas forcément prévu. Tant mieux pour moi. Mais, je ne laisse pas encore l'OL. Je serai encore là. J'évoluerai dans la continuité même si je ne serai peut être plus sous les feux de la rampe. J'accompagnerai toujours le groupe.

Je suis bien à Lyon mais je ne sais pas trop comment vont évoluer les choses dans les mois à venir. Je laisse la priorité à mes dirigeants. Je ne suis pas plus préoccupé que cela. Ce n'est de toute manière pas moi qui ai la clé de tout cela. On verra bien.