Le top des déclas de la 14e journée de Ligue 1

Paris est plus fort que toutes les équipes du championnat, c'est évident. On ne peut être qu'admiratif de voir évoluer ces grands joueurs, avec ce très haut niveau technique. Le PSG, c'est un peu notre Barça à nous.

Ibrahimovic est un compétiteur-né. Quand le match commence, il se mobilise aussitôt. Il est là. Il voulait marquer, il a râlé, et il a fini par marquer.

On a encore un peu les boules car on perd à nouveau des points suite à une décision arbitrale. On méritait la victoire à domicile à mon sens. Mentalement, ça commence à faire beaucoup, ça pèse dans les têtes. Dans ces conditions, c'est difficile de rester calme.

On ne peut pas jouer le derby toutes les semaines. On a une motivation différente. Le derby, ce n'était que trois points pris et là, il y avait trois points qui nous tendaient les bras.

La seule explication plausible, c'est que l'entraîneur que je suis n'a pas su délivrer les bons messages ni répondre aux problèmes tactiques posés par les Lorientais, donc la responsabilité de l'échec m'incombe. 

On est battu sur un coup de génie, sur un geste de grande classe. Cabella est un des joueurs qui a le plus de talent dans le championnat. Il est capable de gestes comme ça.

On me dit que c'est hors de la surface, on me dit qu'il n'y pas penalty. Mais avant tout, on marque un but. L'arbitre ne l'accorde pas alors que le ballon est rentré. C'est un peu difficile. C'est incroyable la poisse que l'on a depuis le début de saison.

Cela m'a fait du bien, après sept mois sans jouer de match de haut niveau, de retrouver la compétition, le stade et les collègues. Je me dis que je n'aurais pas transpiré des semaines pour rien. Malheureusement, on aurait tous aimé gagner, et moi le premier pour ce retour.