Ligue 1 : Le top des déclas de la 7e journée (Dupraz, Aulas, Makelele)

ParEurosport

Mis à jour 25/09/2014 à 00:32 GMT+2

Dupraz qui croit encore au maintien, Makelele qui se paie Chapron. Retrouvez le top des déclarations de la septième journée de Ligue 1.

Pascal Dupraz croit encore au maintien d'Evian

Crédit: AFP

Dupraz, la tête sur les épaules

Evian TG a enfin gagné après sept matches, mais cela ne suffit pas au bonheur de son entraîneur. Pascal Dupraz est un internel insatisfait.

On a tout donné. On a gagné dans la souffrance. On est toujours aussi ridicules... mais ça entretient l'espoir

Ligue 1

Le PSG sait toujours gagner

24/09/2014 à 23:04

Lorient s’enfonce, son coach déprime

Après une défaite à domicile contre Reims le week-end dernier, Sylvain Ripoll espérait voir ses joueurs afficher un autre visage à Gerland. C’est raté.

C'est une soirée cauchemar. C'était difficile d'exister. C'est un naufrage collectif. On attendait une réaction, on ne l'a pas eue.

JMA refuse de s’enflammer et il a raison

Jean-Michel Aulas a vécu une soirée parfaite contre Lorient (4-0). Mais le président de l’OL met en garde, surtout que son club ne pointe qu’au huitième rang du championnat, avec 10 points.

Il y a un très bon état d'esprit, des jeunes de talent et des supporters formidables mais il ne faut pas s'emballer

Pour Cartier, ce qui est pris n’est plus à prendre

Avec 11 points, Metz occupe un étonnant cinquième rang au classement. Mais le coach refuse que ses joueurs se voient plus beaux qu'ils ne le sont.

Ce soir, on a plus résisté que rivalisé. C'est une victoire qui va compter dans cette lutte pour le maintien avec pas moins d'une douzaine de formations.

Makelele regrette que Chapron ait vu rouge

Face à Nantes, les Bastiais ont rapidement été réduits à dix. Et prendre un point reste un bon résultat, mais le coach corse n’a pas apprécié la décision arbitrale juste avant la pause.

L'expulsion de Cahuzac ? A un moment, il faudrait que Tony Chapron soit communicant, cela ne méritait qu'un jaune.

Claude Makelele n'a pas apprécié la décision de M. Chapron

Crédit: AFP

Girard n’est pas solidaire

Il aura fallu attendre la première défaite de Lille en Ligue 1 pour que René Girard se mette en rogne. Les vestiaires de l’Allianz Riviera ont dû trembler ce mercredi.

On a été en-dessous de tout. Il n’y a pas un pour relever l'autre. Ce n’est pas difficile de faire mieux. Beaucoup doivent se remettre en question

Triste spectacle à Furiani. Der Zakarian sait pourquoi

En supériorité numérique juste avant la pause, Nantes n’a pas pu en profiter. Pour le coach des Canaris accuse surtout la pelouse bastiaise.

Un point à l'extérieur, c'est toujours bien, mais vu la physionomie, on aurait dû gagner. Il faut noter que le terrain est indigne de la Ligue 1 et désavantage les deux équipes

Avec Jardim, l’espoir est permis

Depuis trois matches, Leonardo Jardim ne fait que très peu tourner son effectif. Face à Montpellier, c’est un remplaçant, Valère Germain qui a offert la victoire à Monaco. De quoi redonner de l’espoir à tout un banc.

Tous les joueurs ne peuvent pas jouer, mais Valère, Wallace... qui sont remplaçants, sont des jeunes auxquels on croit dans notre projet. Ils apparaîtront très rapidement à un poste de titulaire

L'entraîneur de Monaco Leonardo Jardim

Crédit: AFP

Généreux Ferri

Meilleur passeur de Ligue 1, Jordan Ferri est un joueur au grand cœur. Lors de la large victoire face à Lorient (4-0), le milieu de terrain a offert un nouveau caviar à N’Jie.

Cela me fait plaisir, maintenant c'est le début. Je joue comme je sais faire. Si je peux délivrer une passe décisive, je la ferais

Bauthéac aime la pression

Cette semaine, le président de l’OGC Nice, Jean-Pierre Rivère, et les Ultras de la populaire sud ont haussé le ton pour tenter de remobiliser les Aiglons, jugés trop tendre. Résultat immédiat, Nice l’a emporté devant Lille (1-0) et Bauthéac en redemande.

Le président et les supporteurs ont eu raison de nous rentrer dedans cette semaine. Bien sûr qu'il y avait de la pression, mais quand on ne la supporte pas, on ne fait pas footballeur professionnel.

Matuidi sait que tout va très vite

Paris s’est donné un peu de répit jusqu’à ce week-end après sa victoire à Caen (0-2). Mais pour Blaise Matuidi, le groupe n’a jamais craint la "crise" évoquée par les médias.