Chelsea : Cesc Fabregas en Italie en janvier ?

Il n'a pas fallu bien longtemps pour entendre de nouveau parler d'un départ de Chelsea de Cesc Fabregas. Moins de deux semaines après la fin du mercato d'été, l'international espagnol est de nouveau annoncé partant de la Premier League. Fin août, un possible retour en Liga avait la cote, au Real Madrid plus précisément comme en faisait l'écho la presse ibérique. Cette fois, c'est du côté de l'Italie que l'ancien Gunner est annoncé.

Dans son édition de dimanche, le Daily Express évoque un départ en Serie A dès l'ouverture du mercato d'hiver, en janvier 2017. Le quotidien anglais se fait même plus précis en citant deux pistes sérieuses : l'Inter Milan, déjà intéressé par Fabregas cet été, et la Juventus Turin, ancien club de son actuel entraîneur, Antonio Conte. Le Milan AC, récemment racheté par des investisseurs Chinois et en quête de top joueurs, serait également en course pour acquérir le milieu de terrain de 29 ans.

Si les rumeurs d'un départ du joueur reviennent avec insistance, c'est aussi parce que son temps de jeu chez les Blues est famélique depuis le début de la saison. Fabregas était remplaçant lors des trois premières journées de Premier League et n'a pris part qu'à une seule rencontre. C'était à Watford (1-2) pour seulement douze petites minutes mais suffisant pour qu'il offre une passe décisive. La traduction est simple : il n'est pas un homme de base sur lequel son nouvel entraîneur à Chelsea, Antonio Conte, entend s'appuyer. L'Italien privilégie le trio Kanté-Matic-Oscar dans son milieu de terrain.

Dans un message rassurant posté sur son compte Twitter à la fin du mois d'août, Cesc Fabregas écrivait : "Je vais continuer à me battre pour ce club jusqu’à la fin et à chaque fois qu’on fera appel à moi, je donnerai mon maximum. Je suis pleinement concerné par Chelsea et mon seul et unique but est d’aider le club à gagner des matches", ajoutant par ailleurs : "le manager et moi avons une bonne relation et il ne m’a jamais dit que je pouvais partir. Il m’a dit qu’il comptait sur moi, comme moi je compte sur lui". Un discours qui ne résistera pas si son temps de jeu demeure aussi faible d'ici la fin de l'année.