Bottas : "Avec les F1 de 2017, on va aller nettement plus vite dans les virages"
ParF1i
Publié 31/12/2016 à 15:36 GMT+1
SAISON 2017 - Le possible futur pilote Mercedes Valtteri Bottas a eu la chance de pouvoir tester les nouvelles monoplaces pour la saison 2017 sur simulateur. Le Finlandais est catégorique : les pilotes iront beaucoup plus vite dans les virages.
Valtteri Bottas révèle qu’il a déjà pu piloter la Williams de 2017, de façon virtuelle, dans le simulateur de l’écurie à l’usine de Grove, en Angleterre.
Le pilote finlandais, qui est pressenti pour remplacer Nico Rosberg chez Mercedes en 2017, confirme que les prochaines monoplaces de Formule 1 seront "nettement" plus rapides que leurs devancières.
"On va nettement plus vite dans les virages, et j’aime ça", explique Bottas. "Aller plus vite dans les courbes est toujours une sensation agréable, ainsi qu’avoir plus de traction, d’adhérence et d’appui aérodynamique. On va moins vite dans les lignes droites, mais cela n’est pas très grave."
Le pilote finlandais, qui est pressenti pour remplacer Nico Rosberg chez Mercedes en 2017, confirme que les prochaines monoplaces de Formule 1 seront "nettement" plus rapides que leurs devancières.
"On va nettement plus vite dans les virages, et j’aime ça", explique Bottas. "Aller plus vite dans les courbes est toujours une sensation agréable, ainsi qu’avoir plus de traction, d’adhérence et d’appui aérodynamique. On va moins vite dans les lignes droites, mais cela n’est pas très grave."
Des changements mais pas de quoi changer de pilotage
Bottas ne pense pas que la prochaine génération de monoplaces de Formule 1 obligera les pilotes à revoir leur style de pilotage.
"Personnellement, je ne pense pas que mon style de pilotage changera énormément, indique-t-il. Vu qu’il y aura plus d’adhérence, certaines trajectoires ne seront naturellement plus les mêmes et certains virages se prendront désormais à fond contrairement aux années précédentes, mais cela s’arrête là."
"Personnellement, je ne pense pas que mon style de pilotage changera énormément, indique-t-il. Vu qu’il y aura plus d’adhérence, certaines trajectoires ne seront naturellement plus les mêmes et certains virages se prendront désormais à fond contrairement aux années précédentes, mais cela s’arrête là."
"En revanche, et c’est quelque chose qu’il est impossible de ressentir dans un simulateur, il ne fait aucun doute que ce sera plus difficile physiquement pour les pilotes, étant donné qu’il y aura beaucoup plus de forces g."
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