GP des Etats-Unis d'Amérique - Les notes : Hamilton et Verstappen étaient en mode "no limit"

J'ai aimé : il a beaucoup tenté dans les roues des cadors sans jamais les mettre en danger.
Je n'ai pas aimé : il a piloté comme un excité pour se montrer devant Rosberg (Mercedes) et même en tête l'espace de quelques mètres aux dépends de Hamilton (Mercedes). Devant son coéquipier Ricciardo encore, jusqu'à mordre sur de l'astroturf mouillé.
En bref : ça devait se terminer dans le mur. Un sentiment de culpabilité quand même.

J'ai aimé : son point pour fêter la 400e course de son équipe.
Je n'ai pas aimé : son accrochage liminaire avec son coéquipier, son incapacité à prendre une décision sur les gommes. Sauber a tenté le coup pour lui, mais c'était trop tôt pour passer des "slick" sur une piste encore humide.
En bref : pas une grande vision de la course.

J'ai aimé : encore une fois corporate, il n'a jamais baissé les bras et n'a pas retardé le sacre de son coéquipier. D'autres auraient pu le faire...
Je n'ai pas aimé : la façon dont il s'est fait balancer au départ. Son erreur finale qui lui coûte cher en terme d'image.
En bref : une pancarte de loser dans le dos.

J'ai aimé : des dépassements de choix sur Button (McLaren), Hülkenberg (Force India), un mano a mano gonflé avec Räikkönen (Ferrari), une belle bagarre avec Ricciardo (Red Bull).
Je n'ai pas aimé : encore pénalisé de cinq secondes pour un excès de vitesse dans la pit lane, qui lui coûte la 6e place.
En bref : il ne peut pas s'empêcher de jouer avec le feu.

J'ai aimé : son coup de stratégie lorsqu'il est rentré au 28e tour. Ça a failli le mettre sur la liste des vainqueurs en puissance.
Je n'ai pas aimé : rien.
En bref : l'assurance tous risques de Ferrari. Avec plus du double des points de Räikkönen.

J'ai aimé : Hülkenberg (Force India), Räikkönen, Vettel (Ferrari), Kvyat et Ricciardo (Red Bull) : il était à la chasse aux gros.
Je n'ai pas aimé : son comportement toujours ignorant des bonnes façons dans les roues de Räikkönen.
En bref : une course de dingue pour une 4e place. A mettre en parallèle avec le fiasco de Kvyat chez Red Bull…

J'ai aimé : l'un des tout premiers à mettre des "tendre" sur une piste s'asséchant pour rentrer ans le Top 10. Il a encore vu clair en rentrant lors de la neutralisation puis en ajoutant un 3e et dernier pit stop.
Je n'ai pas aimé : rien.
En bref : pas mal pour un supposé un pré-retraité qui n'avait pas la dernière évo du Honda.

J'ai aimé : sa détermination à gagner pour se couronner. Une course qui fera date.
Je n'ai pas aimé : son premier virage, sa désinvolture envers Rosberg.
En bref : en mode no limit pour la gloire