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Comme la France, l'Autriche est dans l'expectative en vue des JO 2018 en Corée du Sud

ParAFP

Mis à jour 22/09/2017 à 13:34 GMT+2

JO 2018 - Sur fond de crise internationale avec la Corée du Nord, plusieurs nations se posent des questions en vue des Jeux Olympiques d'hiver 2018 en Corée du Sud. Après la France, l'Autriche se dit elle aussi prête à zapper la compétition si la situation se dégrade.

South Korean students react to one of the mascots for the 2018 Pyeongchang Winter Olympics, a white tiger named "Soohorang", during the mascots' first public staging event at Hoenggye elementary school in Pyeongchang, about 150 kms east of Seoul, on July

Crédit: AFP

Comme la France, l'Autriche, une nation phare des sports d'hiver, n'exclut pas de renoncer aux prochains JO d'hiver en Corée du Sud en raison de la montée des tensions avec la Corée du Nord voisine, a fait savoir vendredi le président du Comité olympique autrichien, Karl Stoss.
"Si la situation se dégrade et la sécurité de nos sportifs n'est plus garantie, nous n'irons pas en Corée du Sud", a-t-il déclaré à l'agence autrichienne APA. "Nous ne considérons toutefois pas, aujourd'hui, qu'on va en arriver là", a ajouté Karl Stoss, soulignant qu'il n'existait en tout état de cause pas de "plan B" en cas d'annulation des JO d'hiver programmés du 9 au 25 février à Pyeongchang, à 80 km de la frontière avec la Corée du Nord.
Jeudi, la ministre française des Sports Laura Flessel avait elle aussi assuré que l'"équipe de France resterait" en France en cas de dégradation de la situation.

Le CIO reste confiant

Les tensions sont vives dans la péninsule coréenne et la région en raison d'essais nucléaires et de tirs de missiles balistiques intercontinentaux effectués par Pyongyang. Le 16 septembre, lors de la dernière session du Comité international olympique (CIO) à Lima, son président Thomas Bach avait fait état de sa "confiance" dans un bon déroulement du rendez-vous.
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Thomas Bach

Crédit: Getty Images

La situation s'est cependant un peu plus dégradée vendredi, quand le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a promis de faire payer "cher" le président américain Donald Trump pour ses menaces d'infliger au pays une "destruction totale".
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