"A lui de s'adapter à moi"

M.R. : Je ne sais pas. Nous verrons dans deux jours (ce soir, ndlr). Deux jours, c'est beaucoup. Mon boulot sera de me préserver. Juste jouer sérieusement, sans m'inquiéter pour mon état de forme, faire ce que je dois pour gagner, essayer de prendre le match mon compte.

M.R. : Un petit peu. J'avais pu juger de ce qu'il aimait faire ou non. Battre un joueur du Top 4 permet de les humaniser un peu, de mieux comprendre leur façon de faire. Si je fais les choses correctement, les occasions se présenteront d'elles-mêmes.

M.R. : En effet, nous avons chacun gagné une fois sur forfait chacun. Ce n'est pas de chance. Je m'étais tordu la cheville à Miami et il a dû renoncer en raison de problèmes de genou à Toronto.

M.R. : Ça va être sacrément important. Le fait que ce soit un match du Grand Chelem ajoute un peu plus de pression. Mais, c'est une situation qui ne me pose pas de problème. Donc, je mets tout ça de côté. Je sais de quoi je suis capable et ce que je peux faire. Je dois juste hausser mon niveau de jeu et le faire.

M.R. : Oui ! Je ne me sentirais pas à l'aise si ça n'était pas le cas. J'ai travaillé pour.

M.R. : Je ne ferai aucun changement tactique par rapport à notre dernier affrontement. Si je sers bien, si je trouve les lignes, mon service est très difficile à retourner. Ce sera davantage à lui de s'adapter à moi que l'inverse. Si tout fonctionne à merveille, je tenterai au maximum de le gêner. Si je sers bien, il se passera ce qu'il doit se passer. J'ai hâte d'y être.

M.R. : Il est surtout un petit peu plus rapide, selon moi. C'est un court très sympa. Il n'est pas plus petit qu'un court comme le numéro 11 par exemple. Je pense qu'il est, en revanche, plus petit que le N°17. Mais ce n'est pas un problème. Ça m'étonnerait que l'un de nous deux se retrouve contre le mur. Là, ce serait problématique.