Macabies : "Le meilleur"

P.M. : J'essaie toujours de suivre les meilleures et de prendre exemple sur les plus anciennes. Mais c'est vrai que par exemple, à l'entraînement, on prend parfois en compte notre jeunesse quand ça devient dur. Malgré tout, il n'y a pas de traitement faveur.

P.M. : Non c'est la deuxième fois que j'y participe. Dans ce genre de compétition, on a toujours à coeur de bien faire. D'autant plus qu'on a beaucoup d'ambition sur le relais cette année.

P.M. : L'individuel en principe mais ça dépend de l'état de santé des autres membres de l'équipe et puis aussi de la fraîcheur de Marie-Laure (Brunet) puisqu'elle revient des Championnats du Monde juniors. Ce n'est pas encore décidé...

P.M. : Ça fait un an et demi que je suis sur la Coupe du Monde et comme il y a deux ans de différence entre nous, on n'a pas eu le temps de vraiment se connaître. D'autant plus que j'étais au Tournoi des Douanes dernièrement donc c'est encore moins évident.

P.M. : C'est le fruit du travail que j'ai fait en stage l'été dernier. J'ai gagné une minute en temps de ski par rapport à l'année passée donc je sens vraiment la progression. Même si je dois encore travailler mon tir.

P.M. : De bien skier essentiellement et de donner le meilleur de moi-même. Peut-être qu'un résultat viendra par la suite.

P.M. : Je suis bien contente qu'elle se soit fait prendre. Ça n'est vraiment pas très réjouissant d'apprendre ça. Je pense qu'elle a sali le biathlon. Le biathlon, ça n'est pas Varis. Surtout, je veux dire que nous, en France, on est propres et qu'on fera tout pour montrer que c'est le cas. S'il faut plusieurs contrôles, on les subira pour montrer notre transparence.