Bonjour à tous et bienvenue pour suivre en direct la 13e étape du Tour d'Espagne. 178 kilomètres sont au programme entre Calatayud et Tarazona.

Merci d'avoir suivi cette 13e étape en notre compagnie. On se retrouve samedi pour le 14e acte de cette Vuelta. Fabio Aru et les autres prétendants la victoire finale s'expliqueront à nouveau entre Vitoria et l'Alto Campo. Fuente del Chivo, premier épisode d'un triptyque en montagne. L'arrivée se jugera à l'issue d'une ascension hors-catégorie longue de 18 kilomètres à 5,6%.

Arrivé dans le peloton comme tous les autres favoris, Fabio Aru (Astana) conserve son maillot rouge de leader. Romain Sicard (Europcar) fait un beau rapproché au général et fait son entrée dans le top 10.

Le peloton passe la ligne avec 4'48'' de retard sur Oliveira. Le Lituanien Bagdonas (AG2R La Mondiale) a attaqué dans le dernier kilomètre pour arriver avec quelques secondes d'avance.

1'00'' plus tard, Julien Simon (Cofidis) règle le reste de l'échappée au sprint devant Nicolas Roche (Sky) et Sylvain Chavanel (IAM). À défaut d'avoir remporté leur premier succès sur cette Vuelta, les Français sont quatre dans le top de l'étape.

La flamme rouge pour Nelson Oliveira (Lampre Merida) ! C'est gagné pour le Portugais ! Il compte encore plus d'une minute d'avance sur le reste de l'échappée.

Orica-Green Edge prend le relais d'Astana en tête de peloton. La formation australienne ne voit pas d'un bon oeil le rapproché au général de Sicard et Brambilla. Son leader Estevan Chaves est 5e à 1'29'' d'Aru.

Arashiro (Europcar) assure toujours l'essentiel du travail dans le groupe des poursuivants. Mais que font les autres ? Oliveira possède encore une minute d'avance sous la banderole des 5 derniers kilomètres.

Le groupe de 23 poursuivants ne roule pas plus vite que l'homme de tête ! 1'00'' d'avance pour Oliveira. S'il ne connaît pas de défaillance dans le final en bosse de Tarazone, il remportera cette étape.

Encore 55'' d'avance pour Oliveira, bien parti pour signer sa première victoire majeure dans sa carrière. Il n'a jusque-là remporté que le titre de champion de Portugal de contre-la-montre (à trois reprises).

1'01'' d'écart entre Oliveira et ses 23 poursuivants sous la banderole des 10 derniers kilomètres. On commence à relayer Arashiro dans ce groupe de battus. Mais n'est-ce pas déjà trop tard ? Astana mène toujours le peloton, pointé à 5'16'' de l'homme de tête.

Ça sent très bon pour Nelson Oliveira (Lampre-Merida). Le Portugais ne cesse d'augmenter son avance (55 secondes !) sur le reste de l'échappée, qui peine à s'organiser. Arashiro (Europcar) tente de relancer l'allure. Mais c'est plus pour tenter de maintenir l'écart sur le peloton (4'20'') et favoriser le rapproché au général de Sicard. Les autres seraient-ils déjà résignés pour la victoire d'étape !

Oliveira creuse encore ! 47'' d'avance sur ses 23 poursuivants. Le peloton navigue à plus de cinq minutes (+5'18'').

30'' d'avance pour Oliveira ! Attention, le reste de l'échappée doit se méfier du Portugais de 26 ans. Le coureur de la Lampre-Merida, trois fois champion du Portugal en contre-la-montre, est un adepte de l'effort solitaire.

En tête depuis le début de la descente, Oliveira (Lampre Merida) compte 17'' d'avance sur ses 23 poursuivants.

L'écart atteint 5'00''. S'il restait le même à l'arrivéeé entre l'échappée et le peloton, Sicard (Europcar, 12e à 6'41) et Brambilla (Etixx-Quick Step, 13e à 6'42'') effectueraient une belle opération au général. Ils rentreraient tous dans le top 10, revenant à moins de deux minutes de Fabio Aru.

Le peloton est désormais repoussé à 4'37''. Seul Astana assure le tempo. La victoire d'étape reviendra à un des 24 membres de l'échappée.

L'échappée attaque une descente longue d'une douzaine de kilomètres. Nelson Oliveira (Lampre Merida) a pris quelques mètres d'avance.

À noter que Pawel Poljanski (Tinkoff-Saxo) a franchi l'Alto de Moncayo (3e catégorie) en première position devant Nicolas Roche (Sky) et Alessandro de Marchi (BMC).

Jonction. L'échappée est de nouveau groupée. Sicard (Europcar) tente sa chance. Repris par De Marchi (BMC). On risque de bagarrer encore un bout de temps.