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Tour des Flandres: Déclas

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ParEurosport

Publié 05/04/2009 à 17:00 GMT+2

4e du Tour des Flandres dimanche, l'Italien Filippo Pozzato a confié qu'il n'avait pas eu de très bonnes sensations durant la course.

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Crédit: Eurosport

Stijn Devolder (BEL/Quick Step), vainqueur: "Sur le Mur de Grammont, c'était tout ou rien. Finalement, ça a été tout. J'ai craint un moment le retour de Quinziato. Quelle course ! Tout semblait perdu après le Koppenberg et puis tout s'est rétabli. Dans le Berendries, on a pu faire la décision pour se retrouver avec les meilleurs devant. Le triplé ? bien sûr, j'y pense. Mais d'abord, il faut penser à Paris-Roubaix. Pourquoi ne pas faire comme l'an dernier (victoire de Boonen) ? Cette victoire, je la dédie à Frederiek Nolf (décédé dans son sommeil au Tour du Qatar, ndlr) qui était mon ami. J'ai pointé le doigt vers le ciel d'où il a suivi la course. J'étais très ému."
Heinrich Haussler (ALL/Cervelo): "Je n'avais pas de très bonnes jambes aujourd'hui. A la fin, je voulais courir pour Thor (Hushovd), mais il m'a dit d'y aller. Alors j'ai attaqué."
Filippo Pozzato (ITA/Katusha), 5e: "Je n'avais pas de super jambes. J'ai tenté de me fixer sur Boonen mais l'équipe Quick Step était vraiment forte dans le final. C'est dommage que Ivanov n'ait pas pu accompagner Devolder, ça aurait pu jouer un rôle."
Sylvain Chavanel (FRA/Quick Step), 31e: "Stijn (Devolder) est parti à la pédale dans le mur de Grammont. Mais, c'est vrai, quand je me suis retrouvé devant avaec Quinziato, je pensais gagner le Tour des Flandres. Le public était derrière moi. J'ai pu prendre du plaisir. Dans l'équipe, seules comptent les victoires. On ne court pas pour les deuxième ou troisième places. Le collectif est très fort. Paris-Roubaix ? On va en parler ce soir ou demain."
Anthony Geslin (FRA/Française des Jeux), 36e: "C'est dommage ! Fred (Guesdon) m'emmène le sprint et je me retrouve aux 200 mètres dans la roue de Gilbert quand ça commence à s'empiler sur le côté gauche et que ma roue arrière est bloquée par une autre roue. Il y avait moyen de faire peut-être un podium ou au moins dans les cinq premiers... Paris-Roubaix ? On va en discuter. C'est une course spéciale."
Frédéric Guesdon (FRA/Française des Jeux), 29e: "Je manque de course après mon arrêt. J'étais un peu juste dans les monts même si ce n'était pas trop mal. Quand Chavanel attaque, il ne me manque pas grand-chose. Oui, j'ai fait une belle course. Il me reste encore une semaine pour Roubaix."
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