Pogba : "Ma réaction ? Je peux montrer mes mollets aux gens"
Mis à jour 16/06/2014 à 05:44 GMT+2
Paul Pogba a reçu beaucoup de coups face au Honduras (3-0). Un traitement qui a provoqué chez lui une réaction sanguine. Heureusement sans conséquence. Le milieu de terrain de l'équipe de France préfère retenir le positif pour son premier match de Coupe du monde.
Quel sentiment vous anime après cette victoire ?
Paul Pogba : On a fait un très bon début, je suis vraiment content. On est très bien entré dans le match. On gagne notre premier match 3-0, on est premiers du groupe. On veut continuer comme ça. C’est mon premier match de Coupe du monde. Ça fait juste plaisir. Peu de personnes savent ce que les joueurs ont enduré toutes ces années pour jouer un Mondial.
Avez-vous craint l’expulsion sur votre réaction sanguine face à Wilson Palacios ?
P.P. : On ne sait jamais. Oui, j’y ai pensé.
P.P. : On ne sait jamais. Oui, j’y ai pensé.
Pourquoi avoir réagi ainsi ?
P. P. : Mon geste, c’est dans le mouvement. Les gens peuvent penser ce qu’ils veulent, Je peux vous montrer mes mollets.
L’absence de Marseillaise avant la rencontre vous a-t-elle perturbé ?
P. P. : Oui, ça fait bizarre. Il s’agissait du premier match de Coupe du monde pour beaucoup de joueurs. C’est très bizarre, mais il fallait rester concentré.
Que s’est-il passé sur le second but ? On a senti un flottement...
P.P. : L’arbitre a dit but donc on est parti se replacer. On a tous vu sur l’écran que ballon était rentré.
Karim Benzema a encore été impérial aujourd’hui…
P.P. : Je suis très content de l’avoir dans mon équipe. J’espère qu’il continuera comme ça et qu’il nous aidera encore. J’ai toujours dit que c’était un grand, il l’a toujours montré.
C’est une finale de groupe que vous jouerez face à la Suisse au prochain match…
C’est une finale de groupe que vous jouerez face à la Suisse au prochain match…
P.P. : Pas une finale, non. Mais un match très important. J’espère bien faire et gagner le prochain match.
Vous aviez beaucoup de supporters à Porto Alegre...
Vous aviez beaucoup de supporters à Porto Alegre...
P.P. : C’est sûr. Ça nous a fait plaisir de les voir nous supporter. On a besoin d’eux.
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