Lloris oublie "les autres"

HUGO LLORIS : Nous nous sommes bien reposés. Nous nous sentons d'attaque pour le match de dimanche contre Monaco. Au contraire de Marseille ou de Paris, nous avons la chance de n'avoir qu'un match à jouer par semaine. Cela permet de bien se préparer physiquement et de travailler davantage à l'entraînement, d'effectuer des exercices que nous n'avons pas l'habitude de faire.

H.L. : Pas du tout. On ne tombe pas dans ce jeu-là. Au contraire, il faut se focaliser sur nous-mêmes, voir les choses qui ne vont pas trop et garder surtout les choses qui vont bien, comme le goût de la victoire. Nous avons la chance d'avoir dans le groupe des cadres qui, par leur expérience, tirent le groupe vers le haut.

H.L. : Oui, peut-être. Mais, s'ils se qualifient, cela peut également leur apporter beaucoup de confiance. On ne doit pas s'occuper des autres. À nous de faire le nécessaire pour prendre le maximum de points. Il faudra être fort mentalement et physiquement.

H.L. : Je peux vous dire que notre groupe n'est pas rassasié. Tout le monde a envie d'être champion. Nous sommes plusieurs à vouloir remporter notre premier titre. D'autres ont déjà cinq, six ou sept titres mais ce sont des grands champions : ils sont là pour tirer le groupe vers le haut. Les cadres montrent l'exemple sur le terrain, c'est l'essentiel. Nous répondrons présent jusqu'à la fin du championnat.

H.L. : C'est toujours intéressant. Il y a une réelle envie de se surpasser car nous n'avons pas le choix. Il y a beaucoup de concurrents, les matches sont de plus en plus importants, ça renforce les liens. C'est un super challenge. Si nous parvenons à être champions, nous aurons fait quelque chose de très beau.

H.L. : L'essentiel est de prendre le maximum de points. Il faut se dire que les compteurs sont remis à zéro avant ces huit dernières journées.

H.L : Il n'y a pas le choix. On est sur le terrain pour donner le maximum. Nous sommes un peu dos au mur, nous n'avons pas le droit à l'erreur, il faut gagner. Chacun se doit d'être à 200% et de sortir du match sans regret.

H.L. : Je n'ai pas à les juger. Ce qui compte, c'est le collectif et de voir ce que sera notre classement final.

H.L. : C'est un concours de circonstances. Je ne rentre pas dans ce jeu-là. Je n'ai pour seuls buts que l'équipe soit au top et termine championne. On reste tous en retrait, l'objectif commun est le plus important.

H.L. : C'est bien pour l'équipe. Nous avons besoin de lui et il a besoin de nous. C'est vrai que quand Karim marque, l'équipe va souvent très bien. Il fait partie des individualités qui sont là pour faire la différence.

H.L. : Toutes les équipes viennent à Gerland pour prendre des points et nous causer des problèmes. C'est vrai que Monaco est capable de tout mais je suis sûr que cette équipe répondra présente dimanche soir. Mais il faudra prendre les trois points pour poursuivre notre série de victoires.

H.L. : Dans ce sprint final, il va falloir se faire respecter à domicile. Cela n'a pas été le cas ces derniers mois. Nous avons besoin de nous racheter vis-à-vis de notre public et de notre club. Pour cela, il n'y a rien de mieux que ce sprint final où les points vont être très précieux.

H.L. : On doit se mettre dans la meilleure position possible avant d'aller à Bordeaux, de recevoir Paris ou, plus tard, de se rendre à Marseille. Les confrontations directes seront sans doute déterminantes pour le titre, à condition de ne pas perdre de points contre des équipes plus mal classées.