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"Pas normale"

ParAFP

Mis à jour 25/04/2011 à 00:15 GMT+2

Retrouvez une sélection des petites phrases et des analyses prononcées après les matches de la 32e journée de L1. Antoine Kombouaré pointe du doigt Apoula Edel tout en le défendant. Gervais Martel (Lens) y croit encore. Christophe Galthier (Saint-Etienne) n'a pas aimé l'entame de ses joueurs.

Ligue 1 2010/2011 PSG Kombouare

Crédit: AFP

ANTOINE KOMBOUARE (PSG) : "La faute d'Edel n'est pas normale"
(Nul 2-2 à Brest)
"On reste invaincu, c'est un bon point de pris qu'il faudra valider contre Valenciennes. La sortie de Greg (Coupet) nous fait du mal parce qu'on encaisse deux buts en première mi-temps. Malgré la sortie de Greg, on doit être plus costaud et capable de garder le score. La faute d'Edel n'est pas normale, mais ce n'est pas évident: il est rentré sans s'échauffer. J'attendais des joueurs qu'ils l'aident à rentrer dans le match, mais défensivement on a été en dessous. C'est le cas de tous mes défenseurs. On n'a pas été capables d'être costauds dans les duels, ce qui fait qu'Edel a été sollicité".
RUDI GARCIA (Lille) : "On est leader jusqu'à mercredi"
(Nul 1-1 à Lorient)
"Marseille avance beaucoup plus vite que nous en 2011, le favori c'est Marseille. Je dis simplement qu'on a sept finales - avec la Coupe de France - à jouer chaque semaine. Et jusqu'à mercredi on est leader, on verra les résultats de mercredi, ce n'est pas un problème, ce n'est pas un souci. Il faut surtout gagner un match en Championnat et se concentrer sur la réception d'Arles-Avignon samedi".
FREDERIC ANTONETTI (Rennes) : "C'est un peu cruel"
(Défaite 1 à 0 à Monaco)
"C'est plus que la déception. C'est un peu cruel. On méritait de gagner. Mais il faut persévérer. Il n'y a pas grand chose à reprocher aux joueurs. Sauf le résultat. C'est comme ça. Les dieux du football ne l'ont pas voulu ainsi. On a retrouvé du peps. Mais on n'a pas été capable de marquer. Maintenant, il faut regagner le plus vite possible. Il a manqué aussi un peu de créativité et de justesse. Je pense que ça va repartir."
LAURENT BANIDE (Monaco): "C'est magnifique"
(Victoire 1 à 0 contre Rennes)
"Cela fait beaucoup de bien de gagner ce match. Prendre trois points c'est magnifique. Mais on est loin du but. C'est un encouragement pour tout le groupe parce qu'on sait qu'il y a encore du chemin à faire. Certes, on n'est pas très créatif mais on est actuellement dans une situation difficile. Il faut être sûr de nous, être solide et avoir le brin de chance sur certain ballons. C'est ce qui s'est passé. Cela nous donne un peu de marge mais on sait que ce ne sera pas facile jusqu'au bout."
FRANCIS GILLOT (Sochaux): "Un combat de rue"(Nul 1-1 contre Valenciennes)
"Le match va laisser des traces. Il y avait un blessé toutes les dix minutes. Ce n'était pas un beau match mais c'est un bon point à l'extérieur. Je le regrette pour les spectateurs mais on ne pouvait pas faire mieux. On n'a pas su jouer, poser le ballon. En première période, c'était un combat de rue, une bataille de tranchée. Arrêtez de parler de l'Europe, ça les paralyse.".
JEAN FERNANDEZ (Auxerre) : "Trop de lacunes techniques"(Nul 1-1 contre Lens)
"Prendre un point ce soir face à Lens, c'est bien. Nous avons montré beaucoup trop de lacunes techniques face à un adversaire supérieur à nous et qui avait un plus gros potentiel offensif que le nôtre. Nous avons su rester solidaires mais au plan offensif, nous affichons vraiment trop de problèmes techniques. Sur le but de Lens, nous avons commis une erreur de discipline, de positionnement de la part de Roy Contout".
PABLO CORREA (Nancy): "On a plus l'impression d'avoir perdu le match"(Nul 0-0 contre Arles-Avignon)
"On peut résumer ce match assez vite, on n'a pas montré le niveau d'efficacité requis. On a plus l'impression d'avoir perdu le match que d'avoir perdu la possibilité de gagner les trois points. C'est le groupe qui détient la vérité mais quand le groupe n'est pas capable de mettre en difficulté l'adversaire, qui est valeureux et là pour défendre quelque chose... En fin de match, mon comportement n'était pas bon. Je ne suis pas là pour discuter les décisions des arbitres."
FRANCK DUMAS(Caen) :"On verra si le match sera rejoué"
(Nul contre Toulouse 1-1)
"Je ne discute pas le penalty mais les circonstances du penalty. C'est pénible. L'arbitre tourne le dos au but, il demande plusieurs fois avec les deux mains que les joueurs ne rentrent pas dans la surface. Est-ce que l'arbitre a sifflé pour le faire tirer? Je suis incapable de le dire, en tout cas tout le monde a été très surpris. On verra si le match sera rejoué ou pas. "
GERVAIS MARTEL (Lens) : "Tant qu'il y a du sang, il y a de la vie"(Nul à Auxerre 1-1)
"Tant qu'il y a du sang, il y a de la vie. Aujourd'hui, ce n'est pas le style du club de renoncer dans la difficulté. Nous allons, armes à la main, reconquérir centimètre par centimètre. Evidemment, la tâche paraît, suivant l'aspect mathématique, impossible. Justement, c'est ce qui peut faire aussi qu'elle soit encore plus formidable à la fin de saison. Il faut garder cette foi en nous, cette croyance en notre jeu et cette détermination pour aller chercher ce qui paraît peut-être impossible aujourd'hui pour certains. En football, il n'y a jamais rien d'impossible mais il faut presque faire un sans faute maintenant".
CHRISTOPHE GALTHIER (Saint-Etienne): "J'ose espérer que c'était un accident"(Défaite 2 à 0 contre Bordeaux)
"Le résultat est une déception, c'est sûr, mais ce qui est une déception, ce sont notre première mi-temps, nos trente premières minutes et j'ose espérer que c'était un accident. Pour être aussi absent des débats comme on l'a été... Contre Monaco à domicile, j'espère que l'on montrera un autre visage que ce que l'on a montré ce soir. "
JEAN TIGANA (BORDEAUX) : "Taper, crier, cela ne sert à rien"(Victoire 2 à 0 contre Saint-Etienne)
"L'état d'esprit a un peu évolué et c'est comme ça que j'aime manager les équipes. Taper, crier, tout ça, cela ne sert à rien. C'est toute la semaine qu'il faut que l'on me prouve qu'on est capable d'être dans l'équipe. Ce n'est pas en faisant la tête, en se mettant dans un coin, en faisant n'importe quoi que l'on re-rentrera dans l'effectif. Aujourd'hui, j'ai fait rentrer un jeune (Evan Chevalier), il était un peu essoufflé à la fin, pour lui le rythme était un peu trop élevé, mais c'est un signal. Je n'ai pas peur de lancer les jeunes."
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