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"Pas arbitré pareil"

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ParEurosport

Mis à jour 23/10/2011 à 23:59 GMT+2

Retrouvez une sélection des réactions prononcées après les matches de la 11e journée. Patrice Carteron a critiqué l'arbitrage après la défaite de Dijon à Paris (2-0). Julien Féret explique pourquoi Rennes est si performant à l'extérieur. Francis Gillot appelle Bordeaux à garder espoir.

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Crédit: Eurosport

PATRICE CARTERON (Dijon) : "On n'est pas arbitré pareil, ça fout les boules"
(Défaite 2-0 à Paris)
"J'aurais aimé qu'on ait la même conception d'arbitrage des deux côtés. Quand il y a une faute sur Pastore, peu importe son prix, il y a jaune à chaque fois. Benjamin Corgnet est un joueur d'exception mais il joue à Dijon. Il subit dix attentats par match. On n'est pas arbitré pareil, ça fout un peu les boules."
EDEN HAZARD (Lille) : "La bonne méthode, c'est de prendre un but en premier"
(Victoire 3-1 contre Lyon)
"C'est trois points de plus. Ces derniers temps, quand on gagne, on se fait rejoindre et on fait match nul et quand on perd, on gagne le match. La bonne méthode c'est de prendre un but en premier et après, réagir... Ca montre qu'on donne tout jusqu'à la fin, qu'on a du courage."
REMI GARDE (Lyon) : "Ça fait trop"
(Défaite 3-1 à LIlle)
"Je ne pense pas que mon équipe ait atteint ses limites. On a encore un ou deux absents de poids. On avait eu une très bonne période sur les coups de pied arrêtés et là j'avoue, deux à Madrid, deux ici, ça fait beaucoup. Trop."

JULIEN FERET (Rennes) : "On y joue comme à domicile"
(Victoire 0-1 à Auxerre)
"C'est notre quatrième victoire à l'extérieur, où on a toujours de bonnes dispositions dans le jeu offensif. On y joue finalement comme à domicile. On essaye de ne pas prendre de buts tout en faisant planer une menace pour l'adversaire. Ce qui le met en alerte, sous pression et nous permet parfois d'en profiter, comme ce soir."
FRANCIS GILLOT (Bordeaux) : "Si on se décourage, on est morts"
(Match nul 1-1 face à Brest)
"On est à la 11e journée, il reste encore 27 matches, on ne va pas se décourager aujourd'hui, on est là pour se battre. Dans la situation où on est, si on se décourage, on est mort. Il faut absolument garder espoir, se reposer sur les choses positives et grappiller des points jusqu'à la trêve. Il n'y a pas d'abattement".
FAHID BEN KHALFALLAH (Bordeaux) : "On se répète toutes les semaines"
(Match nul 1-1) face à Brest
"C'est rageant parce que j'ai l'impression que l'on se répète toutes les semaines. A chaque fois à domicile, on mène au score et on se fait rejoindre. Cela commence à faire beaucoup de points lâchés. C'est énervant."
DIDIER DESCHAMPS (Marseille) : "Ayew m'a touché"
(Victoire 2-0 sur Ajaccio)
"Il l'a fait parce que c'est sincère et spontané chez lui. Cela me fait plaisir pour lui, pour son papa, mais je ne lui ai rien demandé. Chacun est comme il est. Je ne suis pas le genre d'entraîneur qui embrasse tout le monde sur la bouche. Je suis comme je suis je ne vais pas modifier ma personnalité, mais ça me touche beaucoup. Certains diront autre chose. Peu importe, il l'a fait c'est spontané".
RENE GIRARD (Montpellier) : "L'arbitre a tort"
(Victoire 1-3 à Caen)
"On a eu un départ difficile, je craignais Caen. Cette équipe est capable de battre n’importe qui quand elle est bien. On bien géré, on a été costaud, on a su conserver le ballon et on a été efficace. On a su marquer à dix. Il n’y a pas à redire. On a été supérieur techniquement, c’est un bon pas en avant".
FRANK DUMAS (Caen): "L'arbitrage ? Je ne vais pas m'énerver"
(Défaite 1-3 contre Montpellier)
"Sur l'arbitrage ? Je ne dirai rien, je ne vais pas m'énerver. Je n'arrive pas à comprendre qu'on puisse sortir de ce match avec deux rouges, alors qu'il y a eu de l'engagement. Le match n'est pas méchant. Il faut accepter que le football est un sport de contact."
ERIC ROY (Nice) : "Absurde de dire qu'on peut viser autre chose"
(Défaite 1-0 à Nancy)
" Sur ce genre de match, on doit être capable de conserver le 0-0, au pire. Car on n'était pas très inspirés offensivement. C'était trop peu pour gagner ce match, il faudra faire plus la prochaine fois. Aujourd'hui, c'est absurde de se dire qu'on peut viser autre chose que le maintien."
DANIEL NICULAE (Nancy) : "Notre victoire, pas la mienne"
(Victoire sur 1-0 sur Nice)
"Je suis content de mon match parce que je suis bien, parce que j'ai tout fait pour aider mon équipe, parce que j'ai marqué. Mais ce n'est pas important qui marque. La victoire est plus importante pour l'équipe que pour moi-même. On est tous sur le terrain pour faire en sorte que l'équipe gagne, les onze sur le terrain, ceux sur le banc et ceux qui s'entraînent. C'est notre victoire, pas la mienne".
MEHMET BAZDAREVIC (Sochaux) : "Pas suffisant pour jouer un rôle plus important"
(Match nul 1-1 face à Evian)
"Avec un peu plus de sérieux, on aurait gagné ce match. On n'avait pas de fluidité dans le jeu, on a été dominés dans les duels, on a perdu trop de ballons, on a manqué de contenu offensivement. On n'arrivait pas à accélérer, à enchaîner. Mais ça a été difficile de travailler lors de nos dernières séances, avec tous les blessés et les absents. Certains joueurs n'étaient pas à 100% dans leur préparation. Mais ce qu'on montre, ce n'est pas suffisant pour espérer jouer un rôle plus important dans ce championnat."
CHRISTOPHE GALTIER (Saint-Etienne) : "Dans 48 heures, certains auront oublié"
(Victoire 1-0 contre Valenciennes)
"Nous savions que ce serait difficile. Nous n'avons pas cédé. Cela fait cinq matches sans défaite dont deux victoires importantes. Nous avons 16 points en 11 journées. Il faut être satisfait. Dans 48 heures, certains auront oublié le tir sur la barre, les arrêts décisifs, nos maladresses et nos mauvais choix."
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