Cris : "Du 50-50"

C. : Il y avait sept adversaires potentiels, nous sommes tombés sur Bordeaux, c'est bien : il y aura une équipe française en demi-finale de la Ligue des Champions.

C. : Non, je ne suis pas déçu. À ce niveau-là, toutes les équipes sont fortes et jouent bien. De toute façon, nous n'avons pas le choix. C'est le foot, c'est comme ça, on a déjà vu dans le passé des chocs entre équipes anglaises.

C. : C'est vrai que tout le monde a dit dans les médias qu'il fallait éviter le Barça ou l'Inter, des équipes actuellement très performantes. À mon avis, Bordeaux a réussi un très bon parcours en coupe d'Europe, ça sera un match compliqué. Les Girondins ont le même style de jeu que nous.

C. : Face au Real Madrid, le match aller avait eu lieu à Lyon et nous nous sommes qualifiés.

C. : Non, dans un duel entre deux équipes françaises, ça ne comptera pas. Il faudra bien étudier l'équipe de Bordeaux.

C. : Non, le championnat et la coupe d'Europe sont deux compétitions complètement différentes, notamment dans l'état d'esprit. Je le disais dans le vestiaire : en vingt jours, nous allons affronter trois fois les Girondins, à nous d'en profiter pour nous qualifier pour les demi-finales de la Ligue des Champions et pour les rattraper en championnat.

C. : C'est du 50-50, il n'y a pas de favori.

C. : Ça dépend d'eux! On jouera vendredi face à Grenoble, on bénéficiera bien sûr d'un jour de repos supplémentaire mais, vous savez, quand le match arrive, vous oubliez la fatigue. Mentalement, les deux équipes seront prêtes.

C. : C'est bien, c'est un grand joueur, j'aime jouer contre les grands joueurs. C'est un attaquant toujours prêt à aller aux duels, ça me fait plaisir.