Bleus - Avant Belgique - France - Aurélien Tchouaméni défend Kylian Mbappé : "On en fait un peu trop"
Aurélien Tchouaméni, capitaine des Bleus en ce mois d'octobre, a lui aussi volé au secours de Kylian Mbappé alors que l'escapade suédoise du Madrilène a provoqué quelques remous depuis vendredi. Tchouaméni a assuré que l'ancien Parisien était en contact avec le groupe et qu'il avait regardé le match. Même arguments côté Didier Deschamps qui exhorte à "ne pas voir le mal partout."
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Video credit: Eurosport
En conférence de presse ce dimanche, Didier Deschamps a apprécié le talent d'Aurélien Tchouaméni devant les micros. "Il ne va pas vous donner cette brindille qui va déclencher un incendie", expliquait le sélectionneur. Quelques minutes avant son coach, le milieu du Real Madrid avait prouvé ses qualités dans l'exercice dans un contexte périlleux : commenter l'escapade de Kylian Mbappé à Stockholm pendant la fenêtre international. Un voyage qui a beaucoup fait parler et dont le timing peut au moins interroger alors que l'ancien Parisien a zappé les Bleus pour soigner son corps et son esprit.
Tchouaméni, sans surprise donc, s'en est remarquablement sorti. "Franchement, je trouve qu'on en fait un peu trop, a exposé l'ancien Bordelais. Chacun a le droit de penser ce qu'il veut, mais chaque fois que c'est Kylian, cela prend des proportions démesurées. On a parlé avec lui avant le match, après le match, et l'endroit où il l'a suivi n'a pas forcément d'importance, en vérité. Son amour pour l'équipe de France n'est plus à démonter. On a hâte qu'il revienne tout simplement." L'équipe de France fait corps autour de sa star de Wesley Fofana samedi, à Tchouaméni dimanche.
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Aurélien Tchouaméni au point presse de l'équipe de France
Crédit: Getty Images
Il ne faut pas voir le mal partout
Le son de cloche est évidemment le même chez Didier Deschamps. "Chacun a sa propre perception, a expliqué le sélectionneur ce dimanche. Ce n'est pas pour autant qu'il n'a pas regardé le match ou envoyé de message à moi aussi. Je suis toujours prêt à comprendre les différentes situations. Mais il ne faut pas voir le mal partout. Il est dans sa vie privée même si sa vie privée n'est pas privée."
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