Bienvenue à toutes et à tous pour suivre en direct sur notre site le barrage aller entre la Grèce et la Roumanie.

BUT !! Mitroglou ouvre le score !! Suite à un coup franc d'Holebas repoussé plein axe, Salpingidis trouve son attaquant dans le dos de la défense, celui-ci reprend parfaitement de volée, du plat du pied. Il trouve le petit filet.

Sur ses cinq machs qualificatifs joués à domicile, la Grèce n'a pas encaissé le moindre but. Un cas unique.

La rencontre a démarré sur un petit rythme. Les deux équipes prennent le temps de construire depuis leur camp, avec défenseurs et milieux défensifs.

Première frappe, elle est signée Torje de loin, mais ça passe largement à côté.

Torossidis est déjà très haut sur son côté droit. Il est trop court sur un service de Salpingidis.

Marica reçoit le ballon dans la surface mais il n'arrive pas à le contrôler, Karnezis peut s'en saisir.

Les Grecs sont à l'attaque, Maniatis cherche Mitroglou en profondeur mais c'est trop long. L'attaquant de l'Olympiakos tombe et demande une faute mais l'arbitre reste de marbre.

C'est parti ! Le coup d'envoi est donné par les Roumains !

Le public est déjà surchauffé. Les fumigènes en tribunes provoquent une certaine brume au-dessus de la pelouse. Mais pas de quoi gêner les 22 acteurs.

Les joueurs entrent sur la pelouse du stade Georgios Karaiskakis pour les hymnes nationales.

Les joueurs de Fernando Santos (6 victoires, 1 nul, 3 défaites) ont réussi à obtenir leur billet pour ce barrage en terminant deux points devant la Hongrie et trois devant la Turquie. Les Pays-Bas ont terminé loin devant (9 victoires et 1 nul).

La Roumanie, pas forcément favorite sur la pelouse du Pirée, peut compter sur un historique favorable face à son adversaire du jour : 17 victoires, 8 nuls et 5 défaites.

Victor Piturca, sélectionneur roumain, a lui confié qu'il avait "qualifié l'équipe pour trois phases finales de championnat d'Europe mais jamais pour la Coupe du monde. C'est donc essentiel pour moi d'y parvenir. Mais ça l'est encore plus pour les joueurs."

La Grèce n'est pas passée loin d'une qualification directe en terminant avec le même nombre de points que la Bosnie-Herzégovine. L'attaque a été son principale défaut, avec seulement 12 réalisations inscrites. "J'espère qu'on marquera les buts qu'on n'a pas marqués en phase de groupes", a déclaré Sokratis Papastathopoulos, défenseur de Dortmund.

Côté grec, Tziolis a été préféré à Karagounis au milieu, dans un 4-3-3 assez classique. La Roumanie, qui doit jouer sans le défenseur de Tottenham Chiriches, aligne un 4-2-3-1. Les anciens ou actuels joueurs de Ligue 1 sont tous remplaçants : Niculae, Nicolita et Keseru.

Les remplaçants roumains : Luchin, Grozav, Lazar, Pantilimon, Grigore, Latovlevic, Nicolita, Gamam, Niculae, Maxim, Hoban, Keseru

Les remplaçants de la Grèce : Tzavellas, Manolas, Samaris, Karagounis, Vyntra, Kapino, Sifakis, Christodoupoulos, Gekas, Ninis, Fortounis, Tachtsidis

La composition roumaine : Lobont - Matel, Gardos, Goian, Rat - Cocis, Bourceanu - Torje, Stancu, Tanase - Marica

La composition grecque : Karnezis - Torossidis, Papastathopoulos, Siovas, Holebas - Tziolis, Maniatis, Katsouranis - Salpingidis, Samaras, Mitroglou