Bianchi, Cabaye, Nadal : L'actu sur un plateau

Deux jours après le terrible accident dont il a été victime, Jules Bianchi reste dans un état "critique" mais "stable", nous apprend un communiqué de l'écurie Marussia, publié après-midi à la demande de la famille du pilote, arrivée lundi à son chevet. On y apprend également que le Français souffre d'une "lésion axonale diffuse". A savoir : une forme sévère de traumatisme cérébral.

Yohan Cabaye en plein spleen. Le milieu de terrain du PSG s'est confié dans les colonnes de L'Equipe ce mercredi et, le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il vit mal son statut de remplaçant à Paris : "Cette situation ne me convient pas", indique-t-il. "Quand je suis sur le terrain, dès que ça se passe un peu moins bien, j'ai l'impression que… hop, je ressors direct." Cabaye admet qu'il n'est pas heureux ni épanoui par sa situation actuelle.

L'attaquant de l'équipe de France Karim Benzema, touché à la hanche droite, a écourté sa séance d'entraînement collectif mardi en fin d'après-midi à Clairefontaine, à quatre jours du match amical des Bleus contre le Portugal au Stade de France. "Il est arrivé à l'entraînement avec une douleur à la hanche droite qui s'est réveillée sans gravité", a indiqué un membre du staff médical des Bleus à l'AFP. "Il a écourté sa séance par précaution."

Heureusement, le tennis ne s'arrête jamais (ou presque). Au cœur d'une journée qui s'annonce calme, le Masters de Shanghaï promet quelques affiches dès son deuxième tour. On suivra avec attention les affrontements entre Gilles Simon et Stanislas Wawrinka ou entre Tomas Berdych et Richard Gasquet. Rafael Nadal débutera face à Feliciano Lopez, Roger Federer face à Leonardo Mayer et Novak Djokovic face à Dominic Thiem.

L'équipe de France poursuit sa préparation avant le match amical face au Portugal samedi. Mais, ce mercredi, les Bleus seront à l'abri des regards pour une séance à huis clos.

On croyait avoir fait le tour de Bielsa et de sa glacière. Un petit dernier pour la route.

L'équipe de France plus soudée que jamais.

Un jour inoubliable pour tous les fans de Michael Schumacher et ceux de la Scuderia Ferrari. Lorsqu'il rejoint l'écurie italienne en 1996 après les deux titres mondiaux conquis chez Benetton, Schumi devient le Baron Rouge mais il va vivre quatre premières années frustrantes. Damon Hill, Jacques Villeneuve puis Mika Hakkinen à deux reprises subtilisent le titre pilotes. En 2000, Schumacher a enfin toutes les cartes en main mais la lutte avec Hakkinen est acharnée. A Spa, au prix d'un dépassement d'anthologie, le Finlandais prend même un ascendant réel à quatre courses de la fin mais Schumi s'impose ensuite à Monza et Indianapolis. A Suzuka, le 8 octobre, il peut être sacré. Auteur de la pole, l'Allemand voit pourtant Hakkinen prendre la tête au départ. Mais à 17 tours de l'arrivée, Schumacher prend définitivement le pouvoir. Il s'impose avec une seconde d'avance sur Hakkinen et décroche à 31 ans son troisième titre mondial. Le premier pour Ferrari depuis Jody Scheckter en 1979. Une date historique. 

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