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Finale du Top 14 - Toulouse-UBB (39-33, après prolongation) : Louis Bielle-Biarrey touché à la crête iliaque, Romain Ntamack à une épaule
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Mis à jour 29/06/2025 à 13:22 GMT+2
L'ailier de l'UBB Louis Bielle-Biarrey et l'ouvreur de Toulouse Romain Ntamack - sortis à la mi-temps de la finale remportée par les Toulousains 39 à 33 après prolongation - ont été touchés respectivement à la crête iliaque (bassin) et à une épaule. Leurs coaches l'ont indiqué après l'ultime joute du Top 14, ce samedi au Stade de France. "Rien à voir avec le reste" pour "LBB", d'après Yannick Bru.
Lafond : "Bielle-Biarrey était out dès le début, on aurait dit un pantin désarticulé"
Video credit: Eurosport
Louis Bielle-Biarrey a signé une performance anonyme. Et pour cause "Sur le deuxième coup de renvoi du match, [Bielle-Biarrey] prend un énorme coup de tête dans la crête iliaque (une partie d'un os du bassin, NDLR)", a expliqué le manager des Girondins Yannick Bru après la finale du Top 14, ce samedi au Stade de France.
"C'est ultra douloureux (...) Ça n'a rien à voir avec le reste" a ajouté Bru, au sujet du choc subi par "LBB" contre Vannes, le 7 juin, qui l'avait empêché de disputer la demi-finale contre Toulon la semaine dernière. L'ailier de l'UBB et des Bleus, incertain pour ce match face à Toulouse, n'avait repris l'entraînement qu'en début de semaine.
"Une décharge dans l'épaule" pour Ntamack
Le coup reçu "l'empêchait de courir", a ajouté son entraîneur à propos de joueur de 22 ans, qui n'est pas revenu sur la pelouse en deuxième période, remplacé par Arthur Retière. Également sorti à la pause, l'ouvreur toulousain Romain Ntamack a lui pris un coup sur une épaule, a expliqué Ugo Mola, dans la foulée du succès 39-33 (après prolongation) des siens.
"Son protège-dents a bipé dans un premier temps", a relaté le coach des Rouge et Noir, les joueurs étant équipés de protège-dents connectés pour détecter les risques de commotion. Après avoir passé avec succès le protocole commotion et être revenu sur le terrain, Ntamack "prend une décharge dans l'épaule (sur un contact)", ajoute Mola : "Il ne pouvait plus serrer la main, donc on n'a pas pris de risque."
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