Bonjour à tous et bienvenue sur Eurosport.fr pour la deuxième journée du quart de finale de Coupe Davis entre la France et la Grande-Bretagne.

30/0. Service au corps sur deuxième de Jamie Murray. Jo-Wilfried Tsonga est trop loin et ne peut redresser la balle.

15/0. Cela devient difficile pour les Bleus.

G-BRETAGNE - FRANCE 4-6, 6-3, 7-6, 2-0. Le break pour les Britanniques. Une nouvelle Nicolas Mahut tremble au moment de conclure le point et les locaux peuvent renverser la vapeur.

Avantage GB. Nouvelle balle de break.

40/40. Andy Murray a tout lâché sur le retour. Heureusement, c'est dehors.

30/40. Quelle erreur de Nicolas Mahut qui loupe complètement son smash. Balle de break pour les frères Murray.

30/30. Belle interception de Nicolas Mahut.

15/30. Le gros service pour souffler. Arnaud Clément parle de plus en plus sur le bord du terrain. Il sent que ses joueurs en ont besoin.

0/30. Jo-Wilfried Tsonga s'écrase à la volée après une bonne première.

L'arbitre demande au public de ne pas crier avant la fin des points. Cela ne change rien, le point est validé pour les Britanniques.

Attention, les Français sont tendus en ce moment. Ce n'est pas vraiment bon signe.

0/15. Contestation des Français après la double faute de Tsonga. Le Manceau se plaint d'avoir été gêné par le public. Au ralenti, la balle était même bonne...

Jo-Wilfried Tsonga au service...

G-BRETAGNE - FRANCE 4-6, 6-3, 7-6, 1-0. Les Britanniques font la course en tête dans cette quatrième manche. Ils semblent surtout plus motivés que jamais.

40/15. Magnifique volée très bien touchée de la part de Jamie Murray qui a vu que les deux Français étaient loin derrière leur ligne de fond de court.

30/15. Mais comme toujours, Andy Murray sort un gros service derrière.

15/15. Solide Jo-Wilfried Tsonga qui a enchainé les coups droits pour faire plier Jamie Murray au filet.

15/0. Le public anglais pousse ses joueurs maintenant. Les Français vont devoir résister à la pression.

C'est Andy Murray qui va servir le premier dans cette quatrième manche. Les Français n'ont plus le choix : ils doivent la remporter.