US Open 2025, simple messieurs : Carlos Alcaraz domine Luciano Darderi et affrontera Arthur Rinderknech en huitièmes de finale de l'US Open.

Malgré une petite douleur au genou droit et un premier break concédé depuis le début du tournoi, Carlos Alcaraz s'est qualifié très facilement pour les huitièmes de finale en dominant l'Italien Luciano Darderi 6-2, 6-4, 6-0 en 1h44, ce vendredi à New York. Il affrontera à ce stade Arthur Rinderknech, qui a remporté quelques minutes plus tard le duel franco-français face à Benjamin Bonzi.

Une petite frayeur physique mais une victoire facile pour Alcaraz face à Darderi - le résumé vidéo

Video credit: Eurosport

C'est une petite pierre sur son chemin, un léger nuage dans un horizon bleu azur depuis le début de cet US Open. Carlos Alcaraz a concédé son premier break de la quinzaine face à Luciano Darderi lors d'un deuxième set au cours duquel on l'a vu faire appel au physio en raison d'une légère douleur au genou droit, ce vendredi. Mais Carlos Alcaraz a gagné, bien sûr, une fois encore sans perdre un set ni d'énergie (6-2, 6-4, 6-0 en 1h44) et le voilà qualifié pour les huitièmes de finale, face donc à Arthur Rinderknech, qui a battu ensuite Benjamin Bonzi.
Après Mattia Bellucci au tour précédent, le numéro 2 mondial se voyait donc proposer un nouveau plat italien à son menu new yorkais. Il n'en a fait qu'une bouchée, malgré la valeur d'un adversaire qui a fait montre d'une belle qualité de frappe lors d'un deuxième set où il a signé quelques beaux points.
Un deuxième set où il a, surtout, créé "l'événement" de la quinzaine : il a breaké Alcaraz, ou plutôt débreaké, alors qu'il était mené 4-2. Un léger vent d'inquiétude a alors circulé lorsque l'Espagnol, repris à 4-4, s'est mis à se plaindre du genou, faisant part de son inquiétude et appelant le physio au changement de côté.
La chance de sa vie pour Darderi ? Le chant du cygne, plutôt. L'Italien, lui-même rattrapé par un souci à la cuisse dans le troisième set, n'allait plus inscrire le moindre jeu de la partie. "J'ai senti un petit quelque chose dans mon genou lors du jeu où il m'a breaké mais après cinq ou six points, c'était parti, a rassuré après coup le Murcien. Je vais bien, et je ne suis pas du tout inquiet pour la suite."
A 22 ans et trois mois, Carlos Alcaraz a ainsi décroché son 80e succès en Grand Chelem – son 20e à l'US Open – un cap qu'il est le cinquième plus jeune joueur à atteindre dans l'ère Open après Boris Becker (22 ans et un mois), Björn Borg, Rafael Nadal (22 ans et deux mois) et Mats Wilander (23 ans et trois mois). On souhaite bien du courage à son prochain adversaire français, Arthur Rinderknech ou Benjamin Bonzi, pour l'arrêter.
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