"Pas de décision"

Y.G. : Comme contre Valenciennes (mercredi, victoire 2-1), on est mal entré dans le match. Il a encore fallu un but pour qu'on se réveille. On a quand même une force assez étonnante pour réagir, il faut s'appuyer là-dessus. Même quand ils sont revenus à 2-2 on n'a pas paniqué, on a continué à jouer.

Y.G. : Je ne sais pas, mais ça use physiquement, ça use mentalement. Quand on voit tous les joueurs à la sortie du terrain, on a vraiment tout donné. Mais c'est un peu usant de devoir réagir, comme à Rennes ou à Valenciennes.

Y.G. : J'essaie, sur les situations intéressantes, d'être dans la surface de réparation et, lorsqu'il y a des centres, d'arriver en mouvement. Mon but, c'est une action un peu confuse. Je travaille peut-être moins à la construction, mais c'est bien si ça peut aider l'équipe.

Y.G. : Cela fait plaisir, mais c'est la victoire qui est importante.

Y.G. : Je n'ai pas pris de décision. Il y a eu une première de prise de contact (avec le club) jeudi. On sera amené à se reparler assez rapidement, puisque la fin du Championnat approche.

Y.G. : On verra ça tranquillement quand j'aurai pris une décision. Ce n'est pas si facile que ça. Je laisse ça de côté pour l'instant, même si ça commence à trotter un peu (dans la tête). Je vais essayer de rester un peu en dehors de ça parce qu'il y a une fin de Championnat géniale. Il ne faut pas gaspiller de l'énergie avec l'avenir des uns et des autres.

Y.G. : Je ne sais pas si je vais arriver à regarder le match... Il y a des chances pour que je sois trop anxieux, trop stressé, et que du coup j'essaie de ne pas y penser et de regarder le résultat à la fin.