Sirigu, Verratti, Lacazette-Fekir… les 4 déclas à retenir de la conférence de presse de Blanc
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Mis à jour 08/05/2015 à 00:02 GMT+2
LIGUE 1 - Du statut de Salvatore Sirigu aux rumeurs concernant Alexandre Lacazette et Nabil Fekir, Laurent Blanc a évoqué des sujets variés en conférence de presse à la veille de PSG-Guingamp. Morceaux choisis.
Laurent Blanc et Marco Verratti lors de PSG-Barça - 2014
Crédit: Panoramic
1. Le numéro un, c'est Sirigu
Les critiques qui visent régulièrement Salvatore Sirigu et les bonnes performances de Nicolas Douchez ne changent rien. Blanc a confirmé que les statuts de ses deux gardiens n'allaient pas évoluer avant la fin du championnat.
La concurrence existe, et la hiérarchie est établie. Salvatore Sirigu reste le gardien numéro un.
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Laurent Blanc félicite Salvatore Sirigu après PSG-APOEL Nicosie
Crédit: Panoramic
2. Verratti, victime de sa réputation
Blanc n'a pas vraiment digéré le carton jaune reçu par Marco Verratti à Nantes, qui privera le milieu italien, tout comme Thiago Motta, du déplacement à Montpellier. Pour l'entraîneur parisien, Verratti est victime de sa réputation auprès des arbitres.
Je trouve que Verrati fait moins de fautes qu'avant. A Nantes, il prend un carton alors qu'il ne touche pas le joueur. Verratti est dans le collimateur des arbitres, il faut le dire. Je pense qu'il est pénalisé.
3. La mise au point sur Fekir-Lacazette
Les rumeurs d'un intérêt du PSG pour Alexandre Lacazette et Nabil Fekir ont pris de l'ampleur cette semaine. Comme Hubert Fournier, Blanc a été invité à réagir sur ce sujet. L'entraîneur parisien a indiqué qu'il appréciait ces deux joueurs, sans aller plus loin.
Jusqu'à preuve du contraire, je n'ai parlé ni de Fekir ni de Lacazette. J'en pense beaucoup de bien mais cela s'arrête là.
4. Le petit tacle aux médias
Blanc n'avait pas apprécié les critiques qui accompagnaient les prestations de son équipe durant la première partie de saison. Il ne les a pas oubliées, même si les commentaires concernant le niveau de jeu actuel du PSG sont devenus plus élogieux.
Paris trop fort pour la L1? Ce n'était pas ce genre de questions que vous me posiez les six premiers mois.
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