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Georgie - France (0-0), compte-rendu : l'équipe de France toujours stérile

Eurosport
ParEurosport

Mis à jour 07/09/2013 à 00:36 GMT+2

L'équipe de France n'a rien fait de mieux qu'un résultat nul en Géorgie (0-0). Incapables de marquer depuis cinq matches, les Bleus avec un Benzema encore muet filent vers les barrages.

Moussa Sissoko, Georgia - France, 2013

Crédit: AFP

L’équipe de France ne s’est pas rapprochée du Brésil, vendredi soir. A peine a-t-elle fait un pas supplémentaire vers le barrage du mois de novembre grâce à la défaite de la Finlande. A Tbilissi, les Bleus ont partagé les points avec la Géorgie (0-0). Jamais ils n’avaient conclu une rencontre face l’ancienne république soviétique sur un autre résultat qu’une victoire. C’est arrivé. Et, franchement, on s’en serait passé. Même si personne n’osera avancer que ce n’est pas mérité tant l’équipe de France a rendu une copie qui s’apparente à un brouillon.
En 4-4-2, avec Giroud aligné aux côtés de Benzema, comme au match aller, et Sissoko au milieu en lieu et place de Kondogbia (blessé), l’équipe de France a eu le souci manifeste de prendre le match en main. Mais pas les moyens de tenir les rênes assez fermement. Notamment en seconde période, où la Géorgie a lancé quelques flèches dangereuses et aurait pu ouvrir le score si la double tentative d’Okriachvili n’avait pas été repoussée par Hugo Lloris puis par le poteau droit du portier de Tottenham (49e).
Quelques frissons à la fin, trop tard
Son homologue géorgien a eu plus de travail. Mais moins de frayeurs tant les Bleus n’ont guère été dangereux face au but. La meilleure occasion, les Tricolores l’ont obtenue juste après l’heure de jeu et la sortie de Benzema (61e, remplacé par Gignac), encore une fois loin du compte et désormais muet depuis 1216 minutes sous le maillot bleu. Mais ni Valbuena, ni Giroud n’ont été capables de reprendre le centre au cordeau d’Evra (68e). Le reste ? Zéro imagination. Un Ribéry  sur lequel les Tricolores se sont trop reposés en première période, un penalty qui aurait pu être sifflé sur une faute de main de Lobjanidze  (21e), puis deux banderilles tardives de Ribéry (82e) et de Valbuena (83e) et deux énormes occasions de Giroud (89e) et de Sagna (90e), dont les têtes ont été brillamment sorties par Loria. C’est peu ? Oui. Mais les Bleus ont le mérite d’être constants.
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