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2010 en 10 phrases cultes

Eurosport
ParEurosport

Mis à jour 19/11/2010 à 00:12 GMT+1

Improbables, ironiques, méchantes, décalées ou carrément délirantes : voici dix petites phrases pour se souvenir de la saison de Formule 1 2010.

2010 GP de Turquie McLaren Hamilton

Crédit: AFP

"Est-ce que j’ai un conseil à donner à Rosberg ? Oui, va-t'en de là !", Barrichello –Valence, essais de pré-saison, le 1er février. Cause : un Schumacher à bloc. Conséquence : aucune. Schumacher vite dégonflé et Rosberg, rivé à son siège, s’est bien amusé.
"Je conduisais de façon exubérante et j'ai été arrêté par la police. Ce que j'ai fait est stupide et pour ça, je présente mes excuses", Hamilton - GP d’Australie, le 25 mars. Cause : burn out et queue de poisson pour amuser la galerie le soir à Melbourne. Conséquence : pilote coopératif et désolé, courroux todtesque, réprimande de la police, confiscation sur le champ de la Merco d’apparat, vendue aux enchères.
"La commercialisation ne se déroule pas comme je l'avais espéré, c'est plutôt très modéré, il y a une certaine 'Schumi-lassitude'. C’est plus facile de trouver une femme vierge de 50 ans qu'un sponsor pour la F1", Weber, agent de Schumi, le 6 mai. Cause : un retour qui fait pschitt... Conséquence : même pas de pantoufles dans le marchandisage de l'as.
"Pas mal pour un N.2 !", Mark Webber - GP de Grande Bretagne, le 11 juillet. Cause : Newey a fait l’erreur de faire fabriquer un seul exemple du nouvel aileron avant magique, donné à Vettel. Conséquence : une ambiance pourrie et Horner obligé de décréter la parité.
"Il y en a assez de l'hypocrisie. Le résultat est dû aux efforts de toute l'équipe, qui ne baisse jamais les bras. Il y en a assez de l'hypocrisie", Di Montezemolo - GP d'Allemagne, le 25 juillet. Cause : une consigne à peine dissimulée faite à Massa. Conséquences : un pataquès planétaire et 100.000 dollars d’amende.
"J'ai beaucoup d'expérience et, habituellement, avec un type cinglé comme ça je lève le pied. Mais pas aujourd'hui, absolument pas", Barrichello - GP de Hongrie, le 1er août 2010. Cause : Michael déguisé en Harald et Barrichello presque en Battiston... Conséquences : Schumi reculé de dix places sur la grille à Spa et un SMS d’excuses trois semaines après.
"Je ne savais pas que c'était son anniversaire (à Webber). Je n'ai rien apporté, je ne sais pas. Il faut que je trouve quelque chose. Je pense qu'il y a du shampoing gratuit et ce genre de choses à l'hôtel. Ce sera un cadeau de dernière minute. Mais ne lui dites rien", Vettel – GP de Belgique, le 26 août. Cause : Seb-le-radin n’avait pas bookmarké la fameuse date. Conséquence : inconnue.
"Sur le papier, son retour n'était pas une mauvaise idée. Mais déjà en 2006, Massa était souvent devant lui, il avait déjà un peu perdu. Trois années plus tard, il a perdu encore plus. Résultat ? C'est un désastre. Ses excuses du style 'C'est une nouvelle équipe, des gens nouveaux', etc.., c’est du pipeau", Irvine, le 1er octobre. Cause : une tardive vengeance d’ex-équipier agri. Conséquence : pas pris au sérieux sur ce coup-là.
"En six ans, ce team est passé d'une équipe que personne ne prenait au sérieux - tout le monde pensaitque nous n'étions que des fêtards - au titre de champion du monde des Constructeurs", Christian Horner - GP du Brésil, le 7 novembre. Cause : Red Bull Racing arrivée sur les ruines de Jaguar Racing. Conséquence : l’argent et le pillage du bureau technique de McLaren plus sûrs raccourcis vers la gloire.
"Thank you boys. Unbelievable… Unbelievable… Thank you… I love you", Vettel, en sanglots dans son tour d’honneur – GP d’Abou Dhabi, le 14 novembre. Cause : il ne savait pas qu’il roulait en position de champion du monde depuis le 15e tour. Conséquence : une petite larme, vous aussi ?
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