Un jour, cinq images: Tomic jette un froid
Mis à jour 14/01/2014 à 14:21 GMT+1
En cinq images, retrouvez cinq temps forts de la journée à Melbourne. Mardi, le choc avorté entre Tomic et Nadal et un Daniel Brands qui devient fou.
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Azarenka, tenante sous tension
Crispée, Victoria Azarenka ? Comme tout le monde, la Biélorusse en a bavé avec les conditions extrêmes. Un poil tendue au moment de frapper ce revers, la double tenante du titre a dû s'employer pour son entrée dans la compétition. Accrochée un set par Johanna Larsson, la numéro deux mondiale s'est finalement imposée en deux manches (7-6, 6-2).
Seppi aussi sait se battre
Pas facile de se coltiner Lleyton Hewitt sur la Rod Laver Arena. Encore moins aisé de contrôler l'Australien dans un cinquième set quand il vient de recoller après avoir perdu les deux premiers. Andreas Seppi a failli perdre un match qu'il a souvent maitrisé. Il a même sauvé une balle de match. Mais c'est bien lui qui est sorti en vainqueur du court. Hewitt n'était pas le seul guerrier…
Et pendant ce temps, Fognini...
Fabio Fognini ne jouait pas mardi. L'Italien a passé le premier tour lundi et sera à nouveau sur le pont mercredi. Il n'a donc pas été trop gêné par les très fortes températures qui ont écrasé Melbourne Park lors de cette deuxième journée du tournoi. Fabio en a profité pour tomber la chemise et le short et enfiler sa tenue de plage, direction les jets d'eaux de Melbourne Park. On se rafraichit comme on peut. On verra si Fabio sera aussi fringant sur le court mercredi.
Bernie, par ici la sortie
Bernard Tomic passe devant la chaise de Rafael Nadal qui, concentré, ne le regarde même pas. L'Australien quitte le court pour aller se faire soigner alors que la moitié du premier set n'a pas été atteint. Quelques minutes plus tard, après la perte de ce set initial (6-4), Tomic abandonnera, récoltant une volée de sifflets de la part du public de la Rod Laver Arena. Ce choc face à Nadal a tourné au cauchemar pour lui. Pas parce qu'il a perdu. Mais parce que, de match, il n'y a pas eu. Ou si peu.
Brands a de quoi devenir dingue
Daniel Brands a mené un set à rien. Puis deux sets à un. Puis il a fait la course en tête pendant une heure et demie dans le cinquième set et obtenu sept balles de match. Il a bénéficié au total de 25 balles de break dans la rencontre. Mais n'en a converti que deux. Puis, finalement, Daniel Brands a perdu, victime de ce diable de Gilles Simon, capable de survivre aussi bien à une cheville boiteuse qu'à la canicule. Brands est éliminé et il doit encore se demander comment il a fait pour perdre ce match.
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