Collet : "Pas de risque"

Vincent Collet : "C'est l'occasion de faire les derniers réglages, défensifs notamment. J'espère qu'on va franchir encore un petit cap. Ensuite on va se concentrer sur les Italiens (premier adversaire des repêchages le 5 août) car pour l'instant on s'est concentré surtout sur notre jeu."

V.C : "Cela nous enlève notre leader offensif, c'est donc forcément une autre approche pour l'équipe. Je trouve que c'est facilement gérable en préparation. Cela oblige les autres joueurs à trouver des solutions et à prendre leurs responsabilités, ce que je souhaitais dès le début."

V.C : "Qu'il ne fasse pas les entraînements ne m'inquiète pas car je n'ai aucun doute sur sa capacité à intégrer notre collectif. Sa capacité de compréhension supérieure à la moyenne le lui permettra. Que sa blessure coupe sa montée en puissance m'embête davantage. Il avait commencé tranquillement mais, la semaine dernière, il a clairement mis le nez à la fenêtre. Dix jours supplémentaires n'auraient pas été de trop. Ce sont des jours qui vont lui manquer."

V.C : "Non, au contraire, ça va dans le bons sens. Il a trottiné hier soir sur tapis roulant, c'est plutôt encourageant. Il reste très positif. C'est un joueur expérimenté. Il m'a dit que c'était sa huitième entorse à la cheville."

V.C : "On ne le sait pas encore mais on ne prendra aucun risque, même par rapport au match face à l'Italie. Ce match-là, il ne le jouera pas à n'importe quel prix. Il faut regarder plus loin."

V.C : "On les a informés immédiatement, comme on le fait avec tous les clubs, NBA ou non. Tout a été fait dans les règles selon le protocole défini avec eux. Ils sont au courant de tout."

V.C : "Pas encore, il est seulement parti mardi. J'espère bien sûr qu'il puisse revenir. Mais laissons-le d'abord parler avec ses dirigeants, voir comment ça se passe là-bas. Voir si tous les joueurs sont là ou si, au contraire, ils sont trois à se battre en duel, auquel cas il aurait des arguments supplémentaires. Mais il faut se préparer à faire sans lui pour l'instant."

V.C : "Ce sera Tony (Parker). Cela me paraît tout à fait logique. En son absence, c'est Boris (Diaw) qui portera le brassard."