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"Une sensation bizarre"

Eurosport
ParEurosport

Publié 16/09/2009 à 12:30 GMT+2

Florent Piétrus est sorti avec une drôle d'impression du match que la France a gagné (71-69) face à la Grèce mardi. Si les deux équipes ont joué à cache-cache pour éviter la possibilité de jouer l'Espagne en quarts de finale de l'Euro, l'intérieur retient aussi la performance du banc tricolore.

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Crédit: Eurosport

FLORENT PIETRUS, on n'a pas vu énormément de joie à la fin de match...
F.P. : Oui (rires). Ça reste un match comme les autres. On n'a encore rien gagné, donc il n'y pas de joie particulière à avoir. C'était un match bizarre, joué sur un faux rythme. Mais on ne s'est pas menti à nous mêmes. On a joué jusqu'au bout.
Il n'empêche qu'on a eu l'impression que personne n'avait vraiment envie de gagner ce match...
F.P. : C'était effectivement une sensation bizarre. Mais c'est difficile d'entrer sur le terrain pour perdre. Tu ne peux pas faire exprès de rater un shoot. C'est bizarre de se dire qu'il faut tout faire pour perdre. Alors on s'est dit à la mi-temps: on se lâche, on joue. Si on veut aller au bout, il faut de toute façon battre tout le monde. Et donc aussi l'Espagne s'il le faut. Le plus beau reste à venir.
Que reste-t-il de positif après ce match bizarre?
F.P. : Déjà, on a vu que les remplaçants pouvaient tenir la baraque. C'était bien de les avoir réactivés, de les garder en rythme. Car tôt ou tard on en aura besoin. Ils ont fait le travail aujourd'hui et ils sont à féliciter. Si on a six victoires contre zéro défaite, ça veut forcément dire quelque chose. Les autres n'ont pas envie de jouer contre la France non plus. Ils nous craignent. Il faudra jouer sur ça. On a vécu tellement de chose cet été, on est prêt pour le combat.
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