Bonjour et bienvenue sur notre site pour suivre en LIVE commenté l'Amstel Gold Race, classique néerlandaise qui marque un nouveau tournant au printemps : après les pavés (Tour des Flandres, Paris-Roubaix), place aux bosses avec en point d'orgue Liège-Bastogne-Liège, dimanche prochain.

Philippe Gilbert et Rui Costa sont désormais accompagnés de deux autres coureurs : Martin Kholer (BMC) et Andy Schleck (RadioShack) !

La chute a provoqué de nombreuses cassures. Le premier peloton n'attend personne et une belle bagarre est déjà lancée.

Les Blanco ne sont pas enclins à attendre. Lars Boom a pris les commandes d'un groupe d'une trentaine de kilomètres très étiré.

Le Portugais Rui Costa accompagne Philippe Gilbert à la poursuite du peloton. Ils sont rejoints par un RadioShack.

Philippe Gilbert est pris dans la chute. Il faut énormément de temps pour dépanner le champion du monde, qui ne semble pas s'être fait mal.

Scène exceptionnelle sur les routes de l'Amstel. Une chute bloque la route, la moitié du peloton s'engage dans un champ pour contourner l'obstacle.

Après 4 heures de course, la vitesse moyenne se maintient à 39 km/h.

À 100 km de l'arrivée, l'écart est passé sous les 10'.

Vainqueur l'an dernier, Enrico Gasaprotto se présente aujourd'hui diminué après une chute à l'entraînement mercredi. L'Italien d'Astana a subi des blessures mineures lors d'une collision avec un camion. Thomas Lovkvist (IAM), percuté par une voiture le même jour, s'en est moins bien sorti : opéré jeudi d'une fracture ouverte à la main gauche, le Suédois est privé de compétition pour cinq à six semaines.

Pris dans une chute sans gravité, Martin Velits ferme la marche du peloton.

L'écart est ramené à 10'10 au moment d'attaquer le Gulperberg.

Le ciel se dégage sur la ligne d'arrivée. Qui l'emportera sous le soleil ?

Le résultat du dernier mondial traduit bien l'équilibre entre fladnriens et ardennais sur le parcours de l'Amstel : 1. Gilbert. 2. Boasson Hagen. 3. Valverde. 5. Boom. 7. Voeckler. 11. Rui Costa. 14. Sagan...

Les hommes de tête ont parcouru la moitié des 250 km au programme de cette journée. Ils sont désormais dans l'Eperheide.

Si Peter Sagan s'est déjà illustré sur les premières classiques du printemps, l'Amstel Gold Race doit marquer l'émergence d'un nouveau profil de coureurs : les puncheurs. Joaquim Rodriguez (Katusha) et Alejandro Valverde (Movistar) mènent le contingent espagnol. Côté italien, on compte sur deux anciens vainqueurs, Enrico Gasparotto (Astana) et Damiano Cunego (Lampre). À suivre également : Simon Gerrans (Orica), Jelle Vanendert (Lotto) ou encore Rigoeberto Uran (Sky).

Les coureurs viennent de finir leur troisième heure de course. Depuis le départ de Maastricht, les hommes de tête avancent à une allure moyenne de 39,3 km/h.

Après 100 kilomètres de course, 10'45 d'avance pour les sept échappés.

Mikel Astarloza (Euskaltel), Johann Vansummeren (Garmin), Nicolas Vogondy et Tim De Troyer (Accent), Alexandr Pliuschin (IAM), Klaas Sys (Crelan) et Arthur Vanoverberghe (Topsport) continuent de mener la course avec une dizaine de minutes d'avance sur le peloton emmené par les équipiers de Peter Sagan.

Le soleil attendu ajourd'hui à Valkenburg peine encore à percer les nuages sur la ligne d'arrivée. Mais les températures sont déjà agréables (près de 20°C) et la pluie s'éloigne. Selon les échos depuis l'arrivée, le vent vient de côté.

John Lelangue, directeur sportif de Philippe Gilbert au sein de la BMC, estime lui aussi que "ce nouveau parcours apporte d'autres solutions tactiques. Je pense que le Keutenberg jouera encore un grand rôle et qu’il pourrait donner lieu à un écrémage, puisqu’il est à une petite vingtaine de km de l’arrivée. Une fois sur le dernier circuit, il faudra voir d’où vient le vent. S’il est de face, cela changera beaucoup de choses."

"L’apparition de ce tronçon séparant le véritable sommet de cette difficulté du nouveau portique d’arrivée est une excellente nouvelle pour Peter Sagan", anticipe Alberto Volpi, directeur sportif de Cannondale. Il va disposer de plusieurs options tactiques. Il peut très bien démarrer dans le Cauberg, à l’endroit où la pente est la plus raide (NdlR : 12 %), faire la différence ensuite dans le faux plat montant ou bien encore miser sur sa pointe de vitesse et attendre le sprint."