Bonjour à toutes et à tous. Bienvenue pour suivre la 8e étape de la Vuelta 2011, longue de 177 kilomètres entre Talavera de la Reina et San Lorenzo de El Escorial.

C'est fait. Il y a désormais quatre hommes en tête de la course: Heinrich Haussler (Garmin-cervelo), Julien Fouchard (Cofidis), Adrian Palomares (Andalucia) et Matteo Montaguti (AG2R).

Sommet du Puerto de Mijares: Haussler et Montaguti passent avec 200 mètres d'avance environ sur Fouchard et Palomares. Jonction dans la descente?

Dernier kilomètre d'ascension pour Haussler et Montaguti. Rappelons que c'est Daniel Moreno (Katusha) qui porte le maillot de meilleur grimpeur pour le moment.

Le peloton toujours mené par les Quick Step, est désormais à 7'30".

Toujours 1'10" d'écart entre le tandem Haussler-Montaguti et le duo Fouchard-Palomares. De Koert à 4 minutes désormais. Le Néerlandais perd du terrain...

Les deux hommes de tête s'approchent du sommet du Puerto de Mijares. Ils ne devraient pas être rejoints par leurs poursuivants avant de basculer dans la descente.

Alberto Contador a annoncé qu'il serait en visite sur la Vuelta la semaine prochaine, afin de venir voir ses coéquipiers de l'équipe Saxo Bank.

Vincenzo Nibali s'est lui aussi retrouvé pris dans la chute hier dans le sprint final. "Tout se passait bien mais d'un seul coup plein de coureurs sont tombés, c'était impossible de les éviter. J'ai plongé sur ma droite, contre les barrières. Je ne pouvais pas faire autrement. Mais ça aurait pu être bien pire", juge le tenant du titre. Il souffre tout de même de la hanche mais s'en est tiré avec de la glace et quelques anti-inflammatoires.

A 10 kilomètres du sommet, le peloton est désormais pointé à 7 minutes. En revanche, Fouchard et Palomares restent à un peu plus d'une minute du duo de tête. Ils n'arrivent pas à revenir au contact.

Les Quick Step se sont postés en tête du peloton.

Haussler et Montaguti avec 1'50" d'avance sur Fouchard et Palomares. Koen de Koert, tout seul, est à 3 minutes. Le peloton désormais relégué à près de 6 minutes.

Le plus sérieusement touché semblait être Scarponi. On a vu le leader de la Lampre grimacer en franchissant la ligne d'arrivée. "Je ne sais pas trop à quel point c'est grave, allait-il confier quelques minutes plus tard. Il souffre du dos, du bras droit et de quelques coupures. "Cette chute créé une difficulté de plus à surmonter pour les prochains jours, c'est certain", admet Scarponi.

La chute survenue dans le sprint final de la 7 étape, vendredi, a failli coûter très cher à certains favoris du Tour d'Espagne. Vincenzo Nibali, Michele Scarponi et Joaquim Rodriguez en ont subi les dommages collatéraux. Rien de très grave a priori, même si ce type de chutes peut perturber.

Fouchard et Palomares reviennent. Ils sont à un peu plus d'une minute de Haussler et Montaguti. Le peloton, lui, navigue à environ 2'30" de la tête de course.

Il y a des contres dans le peloton. Julien Fouchard (Cofidis), déjà à l'attaque hier, sort à nouveau en compagnie de l'Espagnol Adrian Palomares, (Andalucia) que l'on a lui aussi vu très offensif dans cette première semaine.

Sylvain Chavanel n'est pas très optimiste quant à ses chances d'être encore en rouge ce soir. Voilà pourquoi il a attaqué tout à l'heure. "C'est un final vraiment compliqué, très irrégulier. Il y a des passages à plus de 20%, des replats et à nouveau 20%. Je ne me fais pas d'illusions, j'aurais beaucoup de mal à suivre quelqu'un comme Rodriguez" a confié le champion de France.

1'25" d'avance pour les deux échappés, qui vont faire un bon bout de chemin en tête de la course a priori.

La course va retrouver un peu de calme. Le peloton lève le pied et laisse filer Haussler et Montaguti.

50 secondes d'avance pour les deux hommes de tête, qui sont à une dizaine de kilomètres du pied de la première ascension.

Heinrich Haussler (Garmin-Cervelo) et Matteo Montaguti (AG2R La Mondiale) sortent tous les deux du groupe de tête. Le reste de l'échappée est repris par le peloton.

Le peloton est en train de revenir sur l'échappée. Nouvelles attaques au sein de celle-ci. Des coureurs tentent de relancer l'offensive avant la jonction.