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Cancellara : "4e, c'est du

Eurosport
ParEurosport

Mis à jour 25/09/2011 à 19:05 GMT+2

Pour quelques millimètres, Fabian Cancellara est resté au pied du podium dimanche à Copenhague. Déçu, le Suisse est pourtant le seul à avoir réussi à se glisser dans la lutte entre les sprinters. Retrouvez les principales réactions enregistrées à l'issue du Mondial.

2011 Mondiaux Fabian Cancellara

Crédit: Reuters

Matt Goss (AUS), 2e: "Je n'aime pas être la demoiselle d'honneur... J'étais en position parfaite à la sortie du dernier virage. Notre train s'est mis en place aux 5 kilomètres, mais on s'est rendu compte que ce serait dur de tenir. C'est pour cela qu'on a laissé d'autres équipes mener. Mes équipiers m'ont bien protégé. A 100 kilomètres de l'arrivée, j'ai su que j'avais les jambes."
Andre Greipel (GER), 3e: "Je me doutais bien en franchissant la ligne que j'étais 3e, même s'il y a peu d'écart (sur Cancellara, 4e), je n'avais pas d'inquiétude. L'équipe a bien travaillé, mais on a été obligé de modifier nos plans après la grosse chute. On a perdu Martin et deux autres coureurs à ce moment-là. Pour un sprinteur, c'était un parcours superbe. C'était le jour..."
Fabian Cancellara (SUI), 4e: "Quatrième, c'est dur... mais je ne suis pas un sprinteur. J'ai lancé le vélo sur la ligne mais ça n'a pas suffi. Rater une médaille pour un centimètre, c'est râlant. A trois tours de l'arrivée, j'étais sûr que ça se terminerait au sprint. Je me suis fixé là-dessus. Ce n'était pas possible de durcir davantage la course."
Jurgen Roelandts (BEL), 5e: "C'était impossible de battre Cavendish, son équipe a été fantastique. Mais avoir une médaille, c'était accessible. J'ai failli tomber dix fois dans le final. Je suis remonté près de Cavendish, mais j'ai été ralenti par Goss qui m'a un peu fermé la porte."
Daniele Bennati (ITA), 14e: "Je suis resté enfermé, je n'ai pas réussi à passer. La tactique, c'était de sortir du dernier virage en bonne position mais nous nous sommes retrouvés bloqués. Les Britanniques ont fait un gros travail, les Australiens aussi."
Philippe Gilbert (BEL), 17e: "On a essayé de durcir la course le plus possible, mais les Britanniques et les Allemands ont contrôlé. C'était impossible de mener une échappée au bout. J'ai dit à Jurgen (Roelandts) de tenter sa chance dans le sprint. Ce que j'ai dit avant la course s'est confirmé, ce n'était pas moi le favori sur ce parcours."
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