Salut à toutes et à tous ! Merci de nous avoir rejoints pour suivre ce premier match du groupe E - celui de la France - qui oppose la Suisse à l'Equateur. Coup d'envoi 18 heures (13 heures sur place).

C'EST PARTI !!!

Pioché parmi vos commentaires : "Go les p'tits Suisses contre le quatre heure" (ça ne mange pas de pain). BON MATCH A TOUS !

Ils ne sont pas 15 000.

Au tour de l'Equateur.

C'est parti pour l'hymne suisse...

C'est le premier match entre ces deux équipes. Les statistiques s'écriront donc sous nos yeux.

Pour ceux qui ne voient pas le match, les Equatoriens évoluent en bleu (avec des petites touches de jaune) et les Suisses dans leurs traditionnelles couleurs rouges.

Le stade n'est pas plein et sans surprise largement paré de jaune, avec des petits foyers rouges par-ci par-là.

C'est M. Irmatov qui officie au sifflet. Espérons qu'il ne se fera pas trop remarquer, après un début de Mondial entaché de sérieuses erreurs d'appréciation.

Les joueurs, après leur échauffement, rentrent aux vestiaires. Petit moment de calme avant la tempête. L'Estadio Nacional de Brasilia frémit déjà.

Les supporters français sont évidemment curieux de voir ce qui les attend, et se mettent gentiment dans l'ambiance avant la rentrée des Bleus dans la compétition (21h).

A surveiller également côté hélvète, le Turinois Lichsteiner, infatigable travailleur dans son couloir droit dans lequel il multiplie les allers-retours.

Joker avec le Bayern, Shaqiri a sans doute à coeur de montrer tout ce dont il est capable.

Si la Suisse affiche un joli petit potentiel offensif, sa défense n'a pas à rougir non plus. Admirez la statistique !

Connaissez-vous cet attaquant ? Felipe Caicedo, ici en amical contre l'Angleterre. 7 buts en 9 matches de qualif' pour lui. Solide.

La Suisse, tête de série de cette poule, est favorite sur le papier, mais va devoir faire mentir une statistique si elle veut assumer son rang.

Un 4-4-2 sans surprise, si ce n'est la titularisation de Dominguez, alors que c'est plutôt Banguera qui était attendu dans le but. Prenez garde à ne pas confondre le Mancunien Antonio Valencia, qui évolue couloir gauche, et son homonyme, Enner Valencia, en attaque aujourd'hui.

Le onze équatorien : Dominguez ; Paredes, Guagua, Erazo, Ayovi ; A. Valencia, Noboa, Gruezo, Montero ; Caicedo, E. Valencia.

A surveiller aussi le jeune Drmic, le finisseur de cette équipe qui pourrait bien faire parler de lui au Brésil.

C'est vraiment une belle équipe, avec des latéraux très offensifs et des joueurs de classe dans toutes les lignes, dont l'excellent Napolitain Inler ou le remuant Bavarois Shaqiri.

Les compos sont tombées ! On démarre avec la Nati, qui "reçoit" : Benaglio ; Lichtsteiner, Von Bergen, Djourou, Rodriguez ; Inler, Behrami ; Xhaka, Shaqiri, Stocker ; Drmic.