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Ribéry, Afrique du Sud, Honduras : Le top des déclas de la conf’ des Bleus

Martin Mosnier

Publié 14/06/2014 à 22:29 GMT+2

Deschamps qui se braque sur Knysna et Ribéry, Lloris qui rappelle que les Bleus n’ont encore rien fait : voici ce qu’il faut retenir de la conférence de presse des Bleus à la veille de leur entrée en lice face au Honduras.

Hugho Lloris et Didier Deschamps en conférence de presse

Crédit: Panoramic

1. Attention, le Honduras sait jouer au foot

C’est le message qu’a voulu faire passer Deschamps à la veille de l’entrée des Bleus au Mondial. Le Honduras, ce n’est pas que du muscle et des pieds en l’air.
Le Honduras ne pense pas qu'à défendre, il ne faut surtout pas penser cela.

2. Oui, au Brésil, il peut faire froid

De Ribeirao Preto, leur camp de base, à Porto Alegre, où ils disputeront leur premier match, les Bleus ont perdu au moins dix degrés. Ce n’est pas un problème pour Deschamps. Le contraire aurait même été plus embêtant.
Il y a des variations de températures entre les stades. Il fait plus frais par rapport à Ribeirao Preto, c'est un avantage et c'est bien mieux dans ce sens.

3. Deschamps sûr de son onze

Didier Deschamps a son onze en tête. Selon plusieurs sources, Antoine Griezmann a grillé la politesse à Olivier Giroud dans l’équipe type. Deschamps n’en a pas dit plus en conférence de presse mais son idée semble claire.
Je n'ai aucun doute sur mon onze titulaire.
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Buteur, Antoine Griezmann a marqué des points face au Paraguay

Crédit: Panoramic

4. Ribéry ? No comment

Dans la polémique opposant les médecins des Bleus et du Bayern, Franck Ribéry a choisi son camp : celui de son club. Amener à réagir sur l’affaire, Deschamps s’est montré très clair.
Je ne m'exprime pas sur le cas Ribéry. Je ne parle pas des absents. Mon esprit est occupé par autre chose.

5. South Africa ? No comment

Didier Deschamps n’est pas bilingue et certains termes en anglais lui échappent encore. Quand un journaliste anglais lui demande si la débâcle sud-africaine met plus pression sur les Bleus au Brésil, il lui suffit de comprendre un mot pour dérouler son discours.
Je n’ai pas tout compris si ce n’est South Africa. Le mot Afrique du Sud est de trop dans votre question. C'était il y a quatre ans...

6. Jusqu’ici tout va bien mais ça ne sert à rien

Hugo Lloris n’est pas du genre à fanfaronner. Oui, les Bleus baignent dans une espèce d’euphorie ambiante née de leurs résultats récents et de l’image positive que dégage le groupe. Mais…
L'équilibre d'une équipe est fragile. La vérité, c'est demain.
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Hugo Lloris et les Bleus espèrent surfer sur les bonnes ondes de France-Jamaïque

Crédit: Panoramic

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