"Pas le droit à l'erreur"

K.K. : On reste sur quelques résultats positifs, avec la manière. Au classement, nous ne sommes pas au top mais nous nous sommes rapprochés. Forcément, pour atteindre nos objectifs, nous n'avons pas le droit à l'erreur à Avignon.

K.K. : C'est le football. Il faut toujours respecter le jeu et nos adversaires. C'est un match très compliqué, ces trois points sont hyper importants pour nous. L'enjeu est le même contre Benfica que contre Arles.

K.K. : Car ils ont quand même de bons joueurs et car un match de foot n'est jamais gagné à l'avance. Si je venais en conférence de presse avant chaque match, je dirais à chaque fois que la rencontre s'annonce compliquée ! Ils n'ont pas encore gagné un match, je pense qu'ils vont finir par en remporter un et il ne faudrait pas que ça tombe contre nous!

K.K. : Oui, c'est vrai, il faut se servir de cette expérience. La confiance vient avec les victoires, il ne faut pas casser cette dynamique.

K.K. : Ils sont montés et ils ont changé pas mal de joueurs, c'est un peu bizarre. Je ne sais pas où sont partis tous les joueurs de la saison passée? Avec autant de recrues, c'est difficile de faire une équipe. Mais ce n'est pas à moi de juger comment le président d'Arles gère son club.

K.K. : La confiance s'entretient pendant les entraînements et en gagnant les matchs. Nous avons l'esprit plus léger, ça se voit sur le terrain. Nous osons davantage, nous avons plus de chance car nous la provoquons davantage. Il y a des spirales négatives mais aussi des spirales positives. Il faut en profiter et gagner le plus de matchs possibles pour se réinstaller en haut du tableau.

K.K. : Bien, c'est comme ça. Au départ, "Miré" jouait davantage puis ça a été mon tour. Nous avons tous envie de jouer tous les matchs.

K.K. : Un peu. C'est vrai que ce n'était pas évident pour moi en début de saison. Depuis, je suis revenu, j'ai été titulaire quelques matchs et ça s'est bien passé, voir très bien passé pour moi. Je suis content, ça prouve que c'est important de ne pas baisser les bras et de continuer à travailler.