Mexès : "Je suis prêt"

P.M. : Ce sont deux matches très, très importants comme on peut le constater au classement. Quatre points pour nous, neuf pour la Serbie et la Lituanie, ça fait bizarre, même avec un match en retard. Quand tu vois ça, tu doutes un peu. On a d'abord un match difficile qui nous attend en Lituanie. On est conscient que ce sont des points très importants pour la suite.

P.M. : Je ne sais pas. Je suis prêt en tout cas. Malheureusement, il y a beaucoup de blessés et d'absents. Mais on est tous prêts à relever le défi. Maintenant, on ne sait pas qui va jouer ou pas. Mais on est tous conscients de l'objectif et on doit être prêts pour débuter.

P.M. : Oui, plus ou moins, je ne vais pas le cacher. Ça semblait être la ligne défensive. Mais bon, ce sont des entraînements... Tout le monde est conscient que ces matches peuvent être décisifs. Ce n'est pas le plus important de savoir qui commence et qui ne commence pas. Que ce soit moi, Toto (Squillaci) ou (Adil) Rami, on est tous prêts pour jouer.

P.M. : Tout le monde veut apporter sa pierre à l'édifice, évidemment. Mais il faut plus regarder collectivement qu'individuellement. J'ai eu la chance de jouer contre l'Argentine et ça s'est plutôt bien passé malgré ce résultat. Il n'y a ici que des joueurs qui ont le potentiel pour commencer le match.

P.M. : Si je suis là, je pense que j'ai la confiance du staff. J'ai eu la chance de débuter trois ou quatre matches. Ça donne confiance, ça fait plaisir. Je me sens bien. Avoir cette confiance du staff et de mes coéquipiers, c'est très important. Aujourd'hui, je crois que l'épisode de l'Autriche est passé. J'ai pu prendre confiance au fil des matches et des rassemblements. La période où j'avais les fesses entre deux chaises est un peu terminée.

P.M. : On se sent bien depuis le début de la semaine. Le fait de se retrouver régulièrement, sur une période assez longue de dix jours... Moi le premier. Plus le temps passe plus je me sens bien au sein de cette équipe. Et plus que je me sens concerné.

P.M. : Il faut bien. Quand tu arrives en sélection, tu oublies un petit peu ton club. Avant Arsenal, j'ai été malade toute la semaine. J'avais 41° de fièvre. Un virus. J'avais tout en même temps.

P.M. : C'est vrai qu'on n'a pas fait de très bons résultats. Maintenant, on a besoin d'eux pour aller de l'avant et se qualifier pour notre objectif, à savoir la Coupe du monde. On sait que ce sera plus facile d'aborder nos matches avec nos supporters que sans eux. On a toujours essayé d'honorer ce maillot, ce blason. Pour le public, pour nous et pour atteindre notre objectif. C'est plus facile, ou plus agréable disons, si tu as les supporters avec toi. Même si on sent quand même leur soutien. On n'est pas sifflés du début à la fin. Je pense qu'il y a beaucoup d'attentes autour de cette équipe. Avec le temps, ils se rendront compte qu'on est là et qu'on se battra jusqu'au bout.