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Serie A : La Roma dans le sillage de la Juventus après sa victoire à Bologne (0-1)

Vincent Bregevin

Mis à jour 23/02/2014 à 00:16 GMT+1

Victorieuse à Bologne (0-1), l'AS Roma est revenu provisoirement à six points du leader, la Juventus, qui jouera dimanche face au Torino (18h30).

Nainggolan célèbre son but lors de Bologne-Roma le 22/12/2014

Crédit: AFP

La Roma est encore loin d'avoir abdiquer dans la course au titre. Samedi, la formation de Rudi Garcia a souffert à Bologne, mais elle y a acquis un précieux succès qui lui permet de croire encore en ses chances de devenir championne d'Italie (0-1). Les Romains mettent ainsi la pression sur la Juventus en revenant provisoirement à six points du leader turinois, qui affrontera le Torino dans le derby piémontais dimanche (18h30).
Les hommes de Rudi Garcia ont montré le meilleur - une première mi-temps à la domination sans conteste - comme le pire - beaucoup d'imprécisions en deuxième période -, mais s'en sont sortis en conservant, malgré les assauts de Bologne (16e) l'avantage obtenu grâce à un but de Nainggolan (37e). La Louve, seul club de la tête du classement à ne pas avoir disputé de match européen cette semaine, a souffert. Pourtant, les Romains ont dominé la première mi-temps, notamment côté gauche avec un gros travail de Gervinho, qui est parvenu à plusieurs reprises à transpercer la défense de Bologne. Un travail qui a payé à la 37e minute lorsque, lancé, il est parvenue à servir Pjanic: celui-ci a centré avec une précision parfaite dans la surface sur Nainggolan, qui n'a plus eu qu'à ouvrir le pied pour mettre la balle au fond.
En face les Bolognais ont beaucoup couru sans jamais réellement inquiéter De Sanctis. Au retour des vestiaires, le scénario s'est inversé. Les hommes de Rudi Garcia ont semblé éteints. Les Bolognais, regonflés, les ont empêchés de conserver la moindre balle, mais ont gâché leurs occasions devant le but de De Sanctis. Côté romain, les percussions de Gervinho se sont montrés moins efficaces, et le jeu beaucoup plus approximatif. La Louve n'a dû son salut qu'au sang froid de Castan, Taddei et Benatia, sous les coups de boutoir permanents des attaquants Rossoblu (68e, 72e, 84e, 92e+3). Les hommes de Rudi Garcia ont quand même saisi l'occasion de mettre la pression sur leurs rivaux.
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