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MERCATO - Franck Ribéry sur son départ de la Fiorentina : "On m'a manqué un peu de respect"

Glenn Ceillier

Mis à jour 10/07/2021 à 16:43 GMT+2

SERIE A - Dans un entretien accordé à Toscana TV, Franck Ribéry est revenu sur son départ de la Fiorentina. L'ancien joueur du Bayern Munich a reconnu avoir eu du mal à digérer la manière de faire du club toscan. A 38 ans, il a également évoqué la suite de sa carrière et il ne compte pas raccrocher les crampons.

Franck Ribéry, Fiorentina 2020-2021 (Getty Images)

Crédit: Getty Images

Franck Ribéry n'a pas vraiment apprécié. Alors qu'il a été laissé libre par la Fiorentina à la fin de son contrat de deux ans, l'ancien joueur du Bayern Munich n'a pas goûté le manque de communication du club toscan. "Je voulais continuer un an de plus à Florence. Mais ça s'est passé différemment. J'ai l'impression que mes deux années ici n'ont pas été reconnues comme il se doit", a regretté Ribéry lors d'une interview accordée à Toscana TV et reprise par la Gazzetta dello Sport.
Après deux années passées à Florence où il se sentait bien, Ribéry s'attendait à un autre traitement à l'heure de se dire au revoir. Il ne s'en cache pas. "Je n'ai jamais critiqué le club. Mais disons que la dernière période a été un peu difficile, lâche-t-il. Au cours de ces deux années, j'ai toujours donné le meilleur de moi-même, c'est ma mentalité. Et là c'est dur car pendant trois ou quatre semaines, personne ne m'a appelé. On m'a manqué un peu de respect."
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Franck Ribéry, Fiorentina 2020-2021 (Getty Images)

Crédit: Getty Images

Continuer en Italie

Et maintenant ? Que compte-t-il faire à 38 ans alors qu'il est libre de tout contrat ? "Je ne sais pas, j'ai vraiment pensé à continuer ici à Florence. Maintenant j'aimerais rester en Italie, j'aimerais rester dans ce championnat", avoue-t-il, alors qu'il a disputé 29 matches de Serie A avec la Viola la saison passée.
Pas de départ exotique donc pour le moment à son agenda. Il veut poursuivre dans la Botte qu'il apprécie. Et pour de multiples raisons, comme pour ses rapports avec la presse : "J'ai toujours eu de bonnes relations avec la presse aussi bien en Italie qu'en Allemagne. En France, disons que c'est un peu différent, mais je dois aussi remercier tout le monde à Florence. J'avais une relation positive parce que les gens voyaient que je faisais toujours de mon mieux ", conclut-il.
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