Toute ressemblance avec les vrais est fortuite...

Etre footballeur, c’est quand même sympa. Un métier de rêve, beaucoup d’argent, du temps libre pour jouer à des jeux vidéo dans lesquels vous apparaissez. Problème, il arrive que le double virtuel ne soit pas au niveau escompté. Pierre-Emerick Aubameyang en a fait la douloureuse expérience et s’en est récemment ému avec humour.

Gregory van der Wiel n'a lui pas compris de voir ses bras immaculés.

Le Gabonais et le Néerlandais peuvent néanmoins se consoler. Dans l’histoire plus ou moins récente des jeux de foot, d’autres de ses collègues ont été plus ratés que l’attaquant de Dortmund. La preuve.

Il fut une époque, vers la fin des années 80, où il n’y avait pas de jaloux. Rien ne ressemblait plus à un joueur pixélisé qu’un autre joueur pixélisé.

La technologie est passée par là et, depuis une grosse décennie, les joueurs sont devenus ressemblants. Parfois même bluffants de réalisme. Enfin, normalement… Parce que Wayne Rooney, franchement, il ne lui manque plus que les boulons dans le coup et c’est le monstre de Frankenstein (PES 2013).

Vous ne le reconnaissez pas ? C’est normal. Voici Kolo Touré dans PES 2014.

Dans FIFA 12, les concepteurs avaient transféré Zlatan Ibrahimovic à Marseille, avec son catogan. Mais trente centimètres de moins. A moins que cela ne soit… Mathieu Valbuena.

Kyle Walker, il fout carrément les jetons dans PES 2014.

Ok, l’effort a été mis sur la coiffure. Mais il n’aurait pas été superflu de s’occuper du visage, hein ?

Au fait, c’est Bakary Sagna (PES 2014) !

Vous vous dites sûrement : c’est une question de physique. Quand le modèle est beau, son double l’est aussi. Allez demander à David Beckham ce qu’il en pense… En 2008, PES et FIFA avaient une vision assez éloignée du Spice Boy.

Indice chez vous : ce joueur joue au PSG… Thiago Silva ? Non, Ezequiel Lavezzi (PES 2014)

Celui-ci, ils ne l’ont pas gâté… #OhWait